Un journaliste de Libération, Jacques Pezet, après enquête signale différentes blessures :
« membres arrachés, organes ayant perdu leur fonction principale, os fracturés, pieds et jambes incrustés de bouts de grenades, brûlures graves, mais aussi toutes plaies ouvertes au niveau de la tête».
Et toujours le MUR DE LA HONTE#ViolencesPolicières pic.twitter.com/OjcddFKEbW
— Giletsjaunes (@maxime7807) 12 janvier 2019
Les affiches chocs représentent des membres du gouvernement au visage ensanglanté avec en-dessous le prénom d’un Gilet jaune et la description de sa blessure.
Des affiches chocs qui témoignent de la réalité de la violence tolérée par la place Beauvau et son premier flic au passé de voyou, Castaner ! La cogneur de manifestants Alexandre Benalla fait des émules…
L’inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie dans 78 dossiers liés à des violences policières lors de rassemblements des Gilets jaunes. Environ 200 signalements ont été transmis, mais aucun membre des forces de l’ordre n’a pour l’heure été suspendu.
.@DGPNEricMorvan, directeur général de la #policenationale, sur les signalements de #violences policières dans les manifestations de #giletsjaunes » : « L’idée selon laquelle il y aurait une permissivité a l’égard des forces de police est totalement fausse » #le79Inter @AliBaddou pic.twitter.com/bqA2VQCE40
— France Inter (@franceinter) 11 janvier 2019
Francesca de Villasmundo
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