Plus de 750.000 personnes ont participé le 12 mars 2016 à la Marche pour la vie à Lima, au Pérou, la transformant en une grande fête de la défense de la vie, de la conception à sa fin naturelle.
Au Pérou, le droit à la vie depuis la conception est protégée par la Constitution du Pérou, le Code civil, le Code de l’enfance et de l’adolescence et la Convention relative aux droits de l’homme.
La marche a commencé à 15h (heure locale) et, après avoir parcouru l’Avenue Brasil puis s’être dirigée vers la Costa Verde, la foule s’est rassemblée sur le front de mer. La marche a été appuyée par l’Archidiocèse de Lima, ainsi que par les évangélistes. Une foule de jeunes, de femmes enceintes, de familles avec enfants et bébés, des personnes âgées et des personnes handicapées ont rejoint l’événement, au milieu de chants pro-vie et anti-avortement.
Plusieurs personnalités politiques qui postulent ces jours-ci au Congrès et à la présidence du Pérou étaient présents pour exprimer leur engagement en rejetant toute forme d’approbation de l’avortement. L’archevêque de Lima et primat du Pérou, le cardinal Juan Luis Cipriani, a donné sa bénédiction aux participants. Le cardinal a prié Dieu pour qu’il protège la famille, et « la femme qui, par faiblesse, est tombée dans le malheur de l’avortement ». « Mais nous ne pouvons pas laisser dire que l’avortement est un droit, ce n’est pas un droit, c’est un assassinat! », a-t-il conclu.
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