Nouvelle chronique de la genderofolie qui souffle sur le monde entier.
En Grande-Bretagne, précisément dans la ville de Birmingham, après 26 ans de bons et loyaux services, un médecin a été licencié de l’hôpital pour une raison paradoxale : avoir écrit « il » et non « elle » sur le rapport médical d’un transsexuel.
Le médecin a été renvoyé de l’hôpital et licencié sur le champ, après une discussion avec le transsexuel en question et un de ses supérieurs. Il a été accusé de discrimination envers celui qui se perçoit femme alors qu’il est homme !
Le fait est arrivé l’an dernier mais la nouvelle, comme le rapporte la BBC, est en train d’être connue du grand public parce que seulement maintenant le docteur Mackeret a décidé d’intenter un procès au gouvernement britannique pour licenciement injuste.
Le médecin, qui n’a jamais caché sa foi chrétienne, a déclaré à la télévision britannique avoir été pénalisé pour avoir, en vertu de sa foi mais aussi de sa conscience scientifique, reporté sur le certificat tout simplement la réalité :
« Devant évaluer quelqu’un qui est un homme biologiquement mais qui demande à être une femme, je ne me sens pas en conscience […] d’user le terme ‘elle’ ou ‘mademoiselle’ ou ‘madame’ dans le rapport. »
Mackeret a ajouté :
« En conscience je crois que le genre est déterminé par la biologie et la génétique, et je ne vois pas de motif d’avoir honte de cela. Ni d’être licencié. »
D’autant plus, que de la part d’un médecin il est normal d’attester d’une réalité biologique de facto, qu’il voit de ses propres yeux !
La genderofolie n’a pas de limites, elle broie toux ceux qui s’y opposent…
Francesca de Villasmundo
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