De transgressions en perversions, la mode contemporaine épouse aujourd’hui l’idéologie transgenre promue par les organisations ultra-progressistes et transhumanistes du monde entier.
Les cas de mannequins transgenres embauchés par des maisons de haute couture se font nombreux.
Récemment c’est Chanel qui a engagé sa nouvelle égérie maquillage dans la communauté des transsexuels, l’américain Teddy Quinlivan, 25 ans, né garçon, mais « transformé » en fille.
Voir cette publication sur Instagram
💄CHANEL BEAUTY💄 -I find I don’t cry anymore when things are sad, but isn’t it interesting when we shed tears in moments of triumph. This was one of those triumphant cry moments for me. My whole life has been a fight. From being bullied at school consistently, kids threatening to kill me and going into graphic detail how they were going to do it, my own father beating me and calling me a fagot, to receiving industry blowback after speaking publicly about being sexually assaulted on the job… This was a victory that made all of that shit worth it. I had walked 2 shows for Chanel while I was living in stealth ( stealth meaning I hadn’t made my trans identity public yet) and when I came out I knew I’d stop working with some brands, I thought I’d never work with the iconic house of Chanel ever again. But here I am in Chanel Beauty Advertising. I am the first openly trans person to work for the house of Chanel, and I am deeply humbled and proud to represent my community. The world will kick you down, spit on you, and tell you you’re worthless. It’s your job to have the strength to stand up and push on, to keep fighting, Because if you give up then you will never experience the tears of triumph. Thank you to everyone who made this dream a reality! @nicolaskantor @shazmakeup @sebastienrichard1 @casadevallbelen
Avant lui, il y eu Lea T. qui a posé pour Panten, Indya Moore qui sera à l’affiche du prochain calendrier Pirelli. Sans oublier le transsexuel brésilien Valentina Sampaio né homme mais « devenu » femme et choisi pour représenter la marque Victoria’s secret. Ce fut le premier mannequin trans à faire la Une du numéro de mars de Vogue Paris.
Et d’autres noms pourraient être ajouter à la liste de cette genderofolie qui anime le monde de la mode, décidément volontaire pour épouser l’idéologie du gender fluid et du politiquement correct contre la naturelle et biologique identité de l’homme et de la femme et de la famille traditionnelle.
La mode se fait toujours plus asexuée, gomme pas à pas les différences entre féminité et masculinité. Et gare à qui s’oppose à ce processus « irréversible » selon les apprentis-sorciers de l’humanité post-moderne… La police de la pensée veille au grain, tout le monde doit être dans le rang derrière les Lgbt…
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !