Le sport est une de ces activités humaines dans laquelle se manifestent tous les excès et extrémismes de l’idéologie de genre. L’arrogance des promoteurs des nouveaux droits Lgbt saute aux yeux…
En Argentine, dans la province de Buenos-Aires, le 26 décembre dernier a été définitivement promulguée une loi, approuvée le 23 novembre, qui permet de faire une activité sportive, même au niveau professionnel, selon « l’identité de genre auto-ressentie » et non plus le sexe biologique. Bref si t’es un homme tu pourras participer à des compétitions féminines, et vice-versa. Et certains l’appellent « progrès » !
“Jessica” Millaman, un joueur transsexuel, ‘il’ se croit ‘elle’, a réussi ainsi à s’inscrire dans une équipe de hockey féminin. Résultats des courses, lors d’une compétition, l’équipe adverse a perdu 3-0 parce que explique une joueuse perdante « aucune de nous n’osait s’approcher d’elle » ayant peur de la force de l’impact avec une personne qui reste biologiquement un homme.
De tels « phénomènes » sont de plus en plus fréquents même en-dehors de l’Argentine. Récemment, le canadien “Rachel” McKinnon a été le premier homme a remporté le titre arc-en-ciel dans une compétition féminine de cyclisme sur piste. Ceux qui ont osé critiquer cette victoire, dont la troisième finaliste qui avait parlé de « résultat injuste », ont été traités de « bigots transphobes ». Sous couvert de non-discrimination et de combat contre la transphobie, de promouvoir la liberté de genre, ce sont les normes naturelles qui sont ainsi piétinées : et génèrent des victoires mensongères !
Francesca de Villasmundo
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