Manifestement, le sujet Gardasil, vaccin anti-papillomavirus censé prévenir du cancer du col et d’autres cancers (orl, anus) revient sur le devant de la scène. Il faut rappeler que le gouvernement a inscrit en catimini cette vaccination contestée et contestable sur le calendrier vaccinal 2021 pour filles et garçons pendant le confinement français.
Alors que les français étaient plus préoccupés à remplir correctement leurs ausweiss, autorisations de sortie ou blessés par l’interdiction de rendre visite à leurs ainés en EHPAD et même de leur porter des vêtements propres de rechange, les gouvernements profitaient de cette période « bénie » sans gilets jaunes, ni antivax pour voter des lois iniques comme la modification du droit du travail. Il faut dire que cela dure, puisqu’un 31 juillet ils transformèrent le droit à l’avortement en droit à l’infanticide jusqu’au terme. Autre sujet de honte.
Une propagande permanente relayée par toutes les médias et le ministère prétend que la vaccination anti HPV prévient le cancer du col de l’utérus. Aucune preuve scientifique de ces allégations n’existe et la propagande marchande dont on nous abreuve repose uniquement sur des simulations mathématiques reposant sur des hypothèses fausses, comme celles qui ont convaincu nos dirigeants de nous confiner lors de la crise du Covid19 aboutissant à une surmortalité considérable[1] qu’on aurait pu éviter.
Un vaccin mis sur le marché sans résultat cancérologique démontré
L’autorisation de mise sur le marché du Gardasil a été obtenue il y a 14 ans (2006) en utilisant des critères substitutifs (évaluation des infections, dysplasies bénignes, en lieu et place du nombre de cancers, objectif visé) sans avoir démontré d’effet préventif sur le cancer invasif, son indication officielle. Cette vaccination, dont on ne connait pas le résultat sur le cancer, car ce cancer est classiquement long à apparaitre au cours de son évolution naturelle, constitue donc depuis 14 ans un traitement expérimental sur des populations entières.
Une évaluation de ses résultats cancérologiques est donc nécessaire et tout particulièrement pour les vaccinations tardives (dites de rattrapage) car dans l’essai initial avant autorisation de mise sur le marché, les femmes vaccinées alors qu’elles avaient déjà été infectées par le HPV souffraient d’un risque de dysplasie précancéreuse majoré de 41%.
Comment évaluer l’efficacité réelle dans la population ?
Dans les pays qui pratiquent le dépistage par frottis du col régulier, une action de prévention d’un cancer aussi rare que celui du col de l’utérus (incidence de 6/100000 en France), a peu de chances d’être évaluée par un essai randomisé car pour atteindre la puissance nécessaire, il faudrait un nombre considérable de suivis et sur plusieurs décennies qui s’accompagnerait inévitablement d’un nombre important de perdues de vue, rendant l’analyse impossible.
Les registres nationaux des cancers que chacun peut consulter par internet, (Nordcan registre scandinave des cancers[2], Global Cancer Obervatory de l’International Agency for Research on Cancer[3] agence de l’OMS localisée à Lyon), Cancer Research United Kingdom[4] pour la Grande Bretagne et Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) pour l’Australie[5], représentent les bases de données indiscutables pour juger de l’effet de cette vaccination en situation réelle dans les populations. C’est d’ailleurs ainsi qu’on a pu démontrer l’effet bénéfique du dépistage dans tous les pays qui l’ont pratiqué.
A ce jour, quatre pays remplissent les conditions[6] permettant une évaluation pertinente : l’Australie, La Grande Bretagne, la Suède et la Norvège. Les évolutions de leur incidence de cancer invasif du col ont été comparées à celle de la France, considérée comme pays témoin du fait de son faible taux de couverture vaccinale anti HPV.
Résultats cancérologiques par pays et par groupes d’âge
L’analyse par groupe d’âge [7] permet de comparer, à l’intérieur de chaque pays, l’évolution des groupes vaccinés à près de 80% (essentiellement les 20-24 ans et en plus en Australie les 25-39) à ceux des non vaccinées (les plus de 50 ans). Les groupes actuellement pertinents sont ceux des vaccinées qui, aux derniers relevés, ont dépassé l’âge de 20 ans, âge des premiers cancers invasifs du col.
En Norvège, les vaccinations ont commencé en 2009, centrées sur les jeunes filles âgées de 12 ans, et complétées pendant plusieurs années par des vaccinations de rattrapage gratuites jusqu’à 26 ans. En 2016 les vaccinées avaient donc entre 19 et 33 ans. D’après Nordcan, dans le groupe des femmes de 20-24 ans[8] l’incidence lissée a été multipliée par plus que 2, passant de 1,68 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016, augmentation statistiquement significative (CC de Pearson = 0,969 p<0,01) qui ne peut donc pas être due au hasard.
La recherche de la date de changement de tendance évolutive réalisée par Nordcan situe son début à 2011, soit deux ans après la campagne de vaccination par Gardasil.
Pendant cette période les norvégiennes de plus de 50 ans non vaccinées n’ont pas souffert d’augmentation de leur risque de cancer invasif.
En Suède, dans le groupe d’âge 20-24 ans, vacciné à près de 80%, l’incidence (lissée sur 3 ans) a baissé jusqu’en 2008 pour augmenter ensuite à plus du double de la valeur initiale (1.49 en 2007-2009 contre 3.73 en 2014-2016). Malgré le faible nombre de cas observés cette augmentation d’incidence est très fortement significative : avec un coefficient de corrélation de Pearson à 0,97 et un p<O,001[9].
Durant cette période de vaccination l’augmentation d’incidence du cancer invasif a épargné les suédoises de plus de 50 ans (non vaccinées).
En Grande-Bretagne, le programme de vaccination scolaire a commencé en 2008. Les données de Cancer Research UK montrent le même type d’augmentation d’incidence dans le même groupe d’âge (20-24 ans en 2016) apparaissant 2 ans après le début de la campagne scolaire de vaccination
Cet accroissement du risque de cancer épargne les anglaises de plus de 50 ans non vaccinées.
En Australie, les vaccinations commencées en juillet 2007 ont été réalisées en milieu scolaire avec rattrapage extra-scolaire jusqu’à 26 ans. Les groupes vaccinés exposés au risque de cancer sont ceux des femmes qui avaient entre 7 et 26 ans en 2007 et entre 20 et 39 ans en 2020 ((derniers chiffres par classes d’âge publiés en 2020[10]).
Avec 13 ans de recul, on observe dans ces trois groupes une augmentation d’incidence des cancers invasifs (augmentations statistiquement significatives pour les vaccinées à l’âge de 17-21 et 22-26 ans)
Ces augmentations du risque de cancer ne touchent pas l’ensemble de la population mais spécifiquement les groupes d’âge vaccinés. Durant cette période, en Australie comme dans tous les autres pays qui ont inclus le dépistage dans leur politique de prévention, l’incidence a diminué chez les femmes de plus de 50 ans.
Arrêtons-nous spécifiquement sur ces résultats australiens car c’est le modèle choisi pour la publicité rémanente sur l’intérêt de la vaccination anticancéreuse par Gardasil. Non, contrairement à ce que l’on entend sur les ondes, l’Australie n’a pas éradiqué le cancer du col et le Gardasil ne prévient pas les autres cancers comme nous l’avons déjà démontré antérieurement[11].
Quelle politique sanitaire obtient-elle actuellement les meilleurs résultats ?
Depuis plusieurs années, des « reportages » sur les effets de la vaccination contre le papillomavirus prétendent que les cancers du col de l’utérus vont disparaître dans quelques années grâce aux vaccins en s’appuyant sur de nombreux articles publiés dans des revues médicales internationales. Cette affirmation constitue une publicité trompeuse pour le vaccin. Ces articles n’ont absolument pas examiné l’évolution des taux de cancer, mais seulement ceux des infections aux HPV des vaccins et des anomalies cytologiques bénignes.
Plus de 80 études ont publié des résultats sur les effets de la vaccination contre les papillomavirus ; elles confirment que la vaccination est efficace contre les souches de HPV contenues dans les vaccins avec des baisses de 70 à 90% de la prévalence (fréquence de la présence) des virus ciblés par les vaccins dans les populations considérées ; les verrues génitales et les anomalies cytologiques bénignes considérées comme précancéreuses diminuent dans des proportions similaires. Mais infection et anomalies cytologiques bénignes ne sont pas des cancers et n’en constituent pas des témoins fiables. Ces dysplasies bénignes disparaissent en effet sans traitement dans la très grande majorité des cas (99% des cas de CN1, 95% des CN2 et 88% des CN3).
Aucune des « études » prédisant la disparition du cancer du col ne repose sur le nombre des cancers invasifs mais uniquement sur des simulations discutables basées sur l’analyse de l’évolution des infections à HPV et l’hypothèse (fausse) que le cancer ne peut pas apparaître sans les virus HPV des vaccins. D’après les courbes de diminution observée des souches HPV, ils prévoient la date de disparition des souches ciblées par les vaccins et, en ajoutant 10 à 20 ans, celle de la disparition espérée du cancer. A l’incertitude d’une prédiction sur la disparition du virus (qui peut muter ou se faire remplacer par l’une des 140 autres souches de HPV), ils ajoutent celle d’un lien de causalité exclusif entre HPV des vaccins et cancer alors que l’origine de ce cancer, comme la plupart est multifactorielle.
Tous ces articles, et leurs auteurs sponsorisés par l’industrie, évitent de parler du seul critère pertinent : l’incidence (fréquence annuelle des nouveaux cas pour 100000 femmes) des cancers invasifs chez les vaccinées.
Pour répondre à cette question fondamentale nous avons comparé l’évolution des incidences du cancer invasif des différents pays[12] selon leur politique vaccinale.
Dans les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, l’incidence globale sur l’ensemble de la population n’a plus régressé depuis (Grande- Bretagne et Australie) ou a augmenté significativement (Suède et Norvège)
En France, durant cette période 2006-2018, selon Santé France et l’Inca[13], l’incidence a continué à baisser au point que cette maladie est devenue rare chez nous d’après la définition de l’OMS (Incidence inférieure à 6/100000)
La France, dépistée mais relativement peu vaccinée, est le pays où l’évolution des incidences globale des cancers du col invasifs a été la plus favorable entre 2007 et 2012 ! Et depuis 2012 l’écart en faveur de notre pays s’est encore creusé aboutissant à une incidence globale plus basse (6) dans notre pays qu’en Australie (7,2), Grande Bretagne (9,4), Suède (8,8) ou Norvège (11,3).
Pour visualiser l’efficacité de la vaccination dans le résultat des politiques sanitaires on peut aussi comparer directement les courbes d’évolution des 20-29 ans en Australie, Grande Bretagne et Norvège, apôtres de la vaccination, à celle de la France entre 2007 (date des premières campagnes de vaccination) et 2012 (publication 2019 de l’IARC-OMS).
Cette courbe montre de depuis l’ère de la vaccination anti HPV l’évolution de notre pays est beaucoup plus satisfaisante que celle des pays qui ont centré leur politique de prévention sur la vaccination. Le dépistage parait ainsi paradoxalement plus efficace que l’association dépistage plus vaccination !
Paradoxalement, les politiques influencés par la puissance des lobbies comme on le vit pour le Covid, veulent absolument aligner notre population sur celle des pays fortement vaccinés, avançant des arguments fallacieux, comme celui du risque de cancer plus important en l’absence de vaccination Gardasil. Ce message relayé par les députés qui déposent régulièrement des amendements pour rendre ce vaccin obligatoire est FAUX.
Prédictions officielles des évolutions cancérologiques
Contrairement aux nombreuses prédictions optimistes d’auteurs trop liés aux firmes ou aux organismes vaccinateurs, qui basent leurs modèles de simulation sur l’évolution constatée des infections à HPV visées par les vaccins, celles des services officiels de statistiques des états, basées sur les résultats cancérologiques observés, sont pessimistes pour les pays qui ont atteint des taux élevés de couverture vaccinale.
Ainsi en Grande-Bretagne Cancer Research United Kingdom prévoit une augmentation de 43% de l’incidence d’ici 2035 :
De même Nordcan prévoit une augmentation d’incidence de plus 60% d’ici 2030 en Suède
Les projections officielles des offices nationaux de statistiques sont donc pessimistes pour les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination.
Commentaire : La précocité de cette augmentation innocente -t-elle la vaccination ?
Démontrer qu’une politique de prévention est efficace peut prendre des décennies ; mais démontrer qu’elle ne l’est pas peut être très rapide.
La catastrophe du Titanic illustre tragiquement ce paradoxe. Avant le départ du paquebot, les ingénieurs de l’époque proclamaient « les 20 prochaines années de navigation sur les mers les plus inhospitalières du globe démontreront que notre navire est insubmersible ». Mais il a suffi de 6 heures pour démontrer qu’il ne l’était pas…
Certains pour innocenter le Gardasil de cette augmentation avérée et précoce du risque de cancer chez les vaccinées, affirment « il faut dix à quinze ans pour que la malignité survienne » Ils ont peut-être raison en cas d’évolution naturelle, mais rien ne permet de penser que cela reste vrai après vaccination. Toute vaccination modifie considérablement l’évolution naturelle de la maladie cible (c’est même pour cela qu’on la pratique !).
La maladie de Marek, maladie du poulet constitue un exemple troublant de vaccination anticancer au résultat paradoxal. Cette infection aviaire, responsable de lymphome et d’atteinte nerveuse, était peu virulente jusqu’en 1950, et rarement mortelle. Après l’application de nouveaux vaccins, des souches pathogènes de plus en plus virulentes sont apparues susceptibles d’entraîner la mort de 100 % des oiseaux non vaccinés et de causer plus de dommages chez les oiseaux vaccinés. Cet exemple de vaccination à visée anti cancéreuse démontre que la vaccination peut être à l’origine de l’évolution de la virulence d’un virus et aboutir au résultat inverse que celui espéré. Les vaccins anti HPV exposent potentiellement au même risque[14].
De même, les premiers candidats vaccins contre le Sida ont été abandonnés après les essais Step et Pampryl parce qu’ils augmentaient le risque de la maladie[15] [16] [17]. Et la catastrophe vaccinale toute récente du Dengvaxia aux Philippines nous rappelle qu’une vaccination mal étudiée peut aboutir à l’effet contraire de ce qui était espéré et dans des délais beaucoup plus courts que l’évolution naturelle pouvait le laisser supposer.[18]
Certains supputent sur le « bénéfice retardé du vaccin », mais de quel bénéfice parlent-t-ils ? La prévention d‘infections qui ne donnent aucun trouble, aucun signe et qui disparaissent sans traitement dans plus de 90% des cas ne constitue pas un réel bénéfice pour les femmes. De plus, chasser 4 souches (ou 9 souches) d’un virus dont on connait au moins 150 souches à tropisme humain (dont 18 supposées cancérigènes) n’aboutit qu’à créer une niche écologique pour les autres souches, comme le démontre une étude norvégienne récente[19].
L’efficacité du vaccin contre l’infection par les souches visées ne prédit en rien la victoire contre le cancer que claironnent sans arrêt les départements de communication des firmes du vaccin. En Grande-Bretagne, dans le groupe des jeunes filles de 16-18 ans en 2007 (qui ont été vaccinées pour plus de 85% d’entre elles et qui ont atteint l’âge de 24 à 26 ans en 2016), la baisse de l’infection est associée à une augmentation d’incidence des cancers in situ et des cancers invasifs depuis 2011 !
L’augmentation actuelle du risque de cancer invasif chez les vaccinées tardives est très inquiétante et l’efficacité des vaccins sur l’infection de quelques souches ne peut pas nous rassurer ! L’infection n’est pas le cancer invasif.
Au lieu d’intensifier la propagande pour la vaccination par Gardasil, la prudence impose d’attendre des résultats définitifs sur les cancers invasifs en espérant qu’ils ne seront pas pires que ceux actuellement constatés.
Conclusion
L’incidence des cancers invasifs a augmenté dans tous les groupes d’âge ciblés par la vaccination (avec des augmentations d’incidence qui dépassent les 100% en Suède et en Norvège) et dans tous les pays qui ont obtenu une couverture vaccinale élevée. Alors qu’elle a continué à baisser chez les femmes de plus de 50 ans (non vaccinées) de ces pays et dans les pays peu vaccinés comme la France qui se retrouve maintenant en meilleure position qu’eux.
Les progrès de la science reposent sur le doute fertile, et la confrontation des hypothèses aux faits avérés pour vérifier leur cohérence.
En cas d’incompatibilité paradoxale, on doit concevoir de nouvelles hypothèses pour remplacer les anciennes. Espérons que des chercheurs s’intéresseront enfin au paradoxe Gardasil dont la compréhension permettrait certainement de futurs progrès dans la connaissance des causes du cancer du col.
Il est regrettable que nos autorités, si promptes à invoquer le principe de précaution, soient aussi imprudentes en ne regardent pas les faits avérés et en conseillant les vaccinations tardives (au-delà de 17 ans) dont le rôle facilitateur de cancer est maintenant prouvé en Australie.
[1] Environ 50000 français ont été victimes non pas du covid19 mais du confinement aveugle : 25000 morts auraient été évités si nos dirigeants avaient appliqué les mesures médicales classiques de mise en quarantaine des seuls infectés et laisser les médecins traiter leurs malades et 20000 à 30000 décès supplémentaires sont survenus ou vont arriver dans les années qui viennent du fait de l’interruption des activités médicales normales pendant trois mois au moins.
[2] http://www-dep.iarc.fr/NORDCAN/english/frame.asp
[3] http://ci5.iarc.fr/CI5plus/Default.aspx
[4] https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence
[5] 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books: cervical cancer Canberra: AIHW. http://www.aihw.gov.au/acim-books>. Australian Health and welfare
[6] Dépistage du cancer du col depuis plus de dix ans, couverture vaccinale suffisamment ancienne et importante, registres de cancer détaillant l’incidence par classe d’âge.
[7] En incidence lissée sur 3 ans comme il est d’usage pour dégager les tendances dans des groupes à faible effectif
[8] vaccinées à plus de 75%
[9] d ’après Fisher et Yates, Statistical tables for biological, agricultural, and medical research (Oliver and Boyd, Edinburgh)
[10] Australian Institute of Health and Welfare(AIHW) Cancer Data in Australia Camberra2020 Book 1 Data source for: Incidence summary June 2020 https://www.aihw.gov.au/reports/cancer-data-in-australia/
[11] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/fake-news-a-propos-du-cancer-anal-204663
[12] En Incidence Standardisée Monde pour éliminer les variations dues à la composition démographique de chaque pays
[13] Defossez G, Le Guyader‑Peyrou S, Uhry Z, Grosclaude P, Colonna M, Dantony E, et al. Estimations nationales de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine entre 1990 et 2018. Volume 1 – Tumeurs solides. Saint‑Maurice (Fra) : Santé publique France, 2019. 372 p. Disponible à partir des URL : http://www.santepubliquefrance.fr/;,
[14]Carmen Lía Murall Chris T. Bauch, et Troy Could the Human papillomavirus vaccines drive virulence evolution ? Proc Biol Sci. 7 janvier 2015 ; 282 (1798) : 20141069.
[15] L’un, appelé STEP, a eu lieu en Amérique et en Australie, tandis que le deuxième, nommé Phambili, s’est déroulé en Afrique du Sud.
[16] Girard MP, Osmanov SK, and Kieny MP (2006) A review of vaccine research and development: the human immunodeficiency virus (HIV) Vaccine 24(19):4062-4081.
[17] http://www.nature.com/news/hiv-vaccine-rased-infection-risk-1.13971
[18] http://docteur.nicoledelepine.fr/securite-vaccinale-un-leurre-retrait-du-vaccin-sanofi-pasteur-contre-la-dengue-aux-philippines-en-decembre-2017/
[19] Espen Enerly and al An observational study comparing HPV prevalence and type distribution between HPV vaccinated and -unvaccinated girls after introduction of school-based HPV vaccination in Norway Plos Published: October 10, 2019
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