Décidément à Metz, ils se donnent tous la main pour détruire
ce qu’il reste de la France catholique, fille aînée de l’Eglise.
Les pauvres Messins ont hérité, sur le plan religieux, du très républicain et œcuménique ancien archevêque de Maurienne, Tarentaise et Savoie Mgr Ballot nommé en juillet 2022 dans le diocèse concordataire de Metz, dont la cathédrale est transformée en salle de sport et défilé de mode.
Toujours sur le plan religieux, ils doivent subir le gauchisme du chanoine de cette même cathédrale – Dominique Thiry – qui interdit à des catholiques de réciter un chapelet de réparation en faisant appel à la police pour expulser ces « intégristes » qui prient à genoux.
Mais ce n’est pas tout, car sur le plan politique ils ont pour maire le philo-islamiste François Grosdidier (1), politiquement classé à droite, puisqu’il est LR, et qui est favorable au doublement de nombre de mosquées en France. Ce même premier magistrat de Metz soutient la construction actuelle d’une grande mosquée sous influence des frères musulmans, des islamistes du CCIF interdits et des islamistes turcs Mili Gorus.
Opposé à ce nouveau cheval de Troie de la secte islamiste, l’association Avenir de la Culture a lancé une pétition ayant récolté près de 40 000 signatures.
Dans une vidéo intitulée 15 millions d’euros pour un centre de propagande, l’association qualifie l’édifice, dont la construction est en cours, d’« immense centre de propagande islamique au cœur de la Lorraine ». Elle avance en outre que « la France est une terre d’églises, pas de mosquées », et dénonce le fait qu’un nouvel édifice dédié à l’islam soit construit dans une ville qui en compte déjà huit.
Pour ce qui est de la qualification de « centre de propagande islamique », François Grosdidier répond que « le projet est soutenu par toutes les autorités religieuses : les catholiques, les protestants et la communauté juive ». Et, cela devrait nous rassurer ?
Le maire estime « ridicule » l’idée de considérer l’apprentissage de la langue arabe comme un moyen d’endoctrinement. « L’arabe doit être appris pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une langue étrangère, et cela s’adresse aux nombreux Messins dont la famille est originaire d’un pays où il s’agit de la langue maternelle », martèle François Grosdidier, véritable dhimmi déjà soumis à ses futurs maîtres.
Déjà, A Woippy – dont il était l’élu en 2020 – , il s’était vanté d’être le seul maire de France à avoir construit une mosquée et une école coranique payées à 100% par l’argent public. Une mosquée avec, sur le terrain communal, une place de stationnement « réservée à l’imam ». Une mosquée avec une entrée principale réservée aux hommes, les femmes devant passer par une petite porte à l’arrière du bâtiment. Une rue de mosquée où la mairie dhimmitesque a financé et installé des lampadaires orientaux surmontés du croissant islamique.
Avec cette mosquée, Metz comptera neuf lieux de culte musulman. Qui parle de « Grand remplacement » ? Des complotistes, vous dis-je, des complotistes !
Sources : actu.fr/grand-est/ VA
(1) Selon sa fiche biographique, François Grosdidier fait ses premières armes aux côtés de Jacques Chirac avec le RPR, puis soutient François Fillon à la présidence de l’UMP. Plusieurs affaires judiciaires entachent ses mandats de parlementaire et d’élu, mais c’est surtout à l’occasion de l’affaire des caricatures de Charlie Hebdo que le maire de Metz s’est fait remarquer. Refusant l’amalgame entre terrorisme et islam, il devenait alternativement un soutien au journal et à la liberté de presse, ou un détracteur de l’islamophobie, opposé aux caricatures.
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