Le pape François avec Dialop, représentants du dialogue entre chrétiens et marxistes
Le pape François avec Dialop, représentants du dialogue entre chrétiens et marxistes

Après avoir autorisé les pseudo-bénédictions des duos d’invertis avec Fiducia supplicans, le pape François vante le dialogue entre c[hr]éti[e]ns et marxistes, lors d’une rencontre avec des politiciens et universitaires de gauche. Un autre pas dans le gâtisme progressiste.

Le dialogue bergoglien crétino-marxiste

Le pape François a rencontré des représentants de DIALOP, Transversal Dialogue Project, une association de politiciens et d’universitaires européens de gauche, qui cherche à rapprocher l’enseignement social catholique et la théorie marxiste, le 10 janvier 2024, au Vatican. Vatican News a noté que l’audience du 10 janvier n’était « pas une courte salutation mais une interview qui a duré avec des questions et réponses spontanées pendant environ 40 minutes ».

DIALOP a été fondée en 2014 après une rencontre entre le pape François, l’ancien Premier ministre grec Alexis Tsipras alors président du parti Syriza et plus tard premier ministre grec après 2015 aux plus que funestes résultats économiques pour les Grecs, Walter Baier, président du Parti de la gauche européenne, et Franz Kronreif du mouvement des Focolari, mouvement progressiste fondé en 1943 pour promouvoir la fraternité universelle et favoriser le dialogue entre les différents groupes religieux et approuvé par Jean XXIII en 1962. DIALOP est, explique Vatican News, « un projet de dialogue entre socialistes/marxistes, communistes et chrétiens visant à formuler une éthique sociale commune qui peut être proposée comme un nouveau récit pour une Europe en quête de son identité, avec une écologie intégrale comme fondement, entre la doctrine sociale de l’Église et la critique sociale marxiste.

Devant ce parterre de la bien-pensance progressiste où étaient présents Baier et Kronreif, ces amis d’idées, il a encouragé la coopération entre chrétiens et marxistes comme moyen de parvenir à un plus grand « dialogue » et d’aider à la recherche du « bien commun ». On peut se demander de quel Bien Commun, ou plutôt travestissement du Bien Commun, il parle : est-ce celui de Davos et de son Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux, remake capitaliste de l’idéologie marxiste avec à la barre toujours les mêmes financiers apatrides ?

Le triptyque révolutionnaire Liberté-Egalité-Fraternité au cœur du discours crétino-marxiste bergoglien

« Je vous remercie pour votre engagement en faveur du dialogue », a déclaré le jésuite en blanc, lors de cette réunion privée le 10 janvier avec les 15 représentants de DIALOP.

« Ne reculez pas, n’abandonnez pas et n’arrêtez pas de rêver d’un monde meilleur. Car c’est dans l’imagination, la capacité de rêver, que l’intelligence, l’intuition, l’expérience et la mémoire historique se réunissent pour nous inciter à être créatifs, à prendre des risques et à courir des risques » a proclamé François avant de s’inscrire résolument dans la dimension du triptyque révolutionnaire Liberté-Egalité-Fraternité de triste mémoire. Il a en effet rappelé comment, au fil des siècles, « ce sont les grands rêves de liberté et d’égalité, de dignité et de fraternité, reflet du rêve de Dieu, qui ont produit progrès et avancées ». Un progrès sans Dieu qui tue l’enfant dans le sein de sa mère et le vieillard dans son lit d’hôpital…, des avancées loin de la loi divine qui promeuvent les unions contre-nature… Quel bel idéal chrétien !

Ainsi vante-t-il le sempiternel rêve messianiste de lendemains qui chantent sur la base d’une idéologie qui fut, -et est encore car elle se continue dans l’écologisme malthusien d’aujourd’hui et les diktats du FEM de Schwab-, le pire cauchemar de l’humanité. Occultant le cataclysme vécu dans les pays communistes, les horreurs que le matérialiste marxisme a engendrées, les millions de morts qu’il a provoqués au XXe siècle, « le total approche la barre de cent millions de morts » estime l’historien Stéphane Courtois, auteur du Livre noir du communisme, El papa argentin qui est bien un homme de gauche rompt sur ce sujet comme sur tant d‘autres, le dernier en date étant les pseudo-bénédictions des duos d’invertis, avec la vraie doctrine catholique.

En 1937, et nous n’avions pas encore connaissance de toutes les horreurs du communisme marxiste, Sa Sainteté Pie XI condamnait solennellement le communisme athée avec son encyclique Divini Redemptoris :

« Le communisme est intrinsèquement pervers et on ne peut admettre sur aucun terrain la collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne. »

Une condamnation dont le révolutionnaire Jorge Maria Bergoglio n’a cure, tout à sa mission de destruction de l’ordre chrétien et naturel. Chez lui, l’apostasie n’a plus aucune limite…

Francesca de Villasmundo

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