« Je ne les ai pas vues, mes enfants les ont vues et m’ont appelé aussitôt, ma femme les a vues et ce qu’ils disent c’est que ce n’est pas un mort, pas un garçon en coma dépassé. Ce qu’on voit, c’est un vivant, un vivant blessé, désarmé, mais quelqu’un qui n’est pas un mort prolongé, ce n’est pas de l’acharnement thérapeutique, je crois d’ailleurs qu’il ne reçoit pas des soins d’acharnement thérapeutique. On ne peut pas abandonner quelqu’un qui est vivant, même blessé, même diminué, même handicapé. » a-t-il déclaré.
On ne peut que se réjouir de voir M. Bayrou prendre la défense de la vie de Vincent Lambert. Cette culture de mort qui s’empare avec rage de notre société n’est que la résultante du rejet de Dieu de la vie public la livrant aux caprices des hommes. L’euthanasie est à la médecine ce que l’avortement est à la naissance et à la vie. Et c’est la laïcité tant défendue et prônée par M. François Bayrou – tout comme il défend l’avortement – qui permet que nous en arrivions à vouloir légalement assassiner un innocent parmi les plus faible.
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