8 personnes soupçonnées d’appartenir à la mouvance antivaccin ont été arrêtées en même temps en Moselle, dans le Rhône, en Seine et Marne, dans les Hauts de Seine et dans le Finistère le 18 Janvier. Il s’agit de deux hommes de 45 et 54 ans et de 6 femmes âgées de 40 à 52 ans. Ils seront jugés pour harcèlement moral en ligne.
Que leur est-il reproché ?
. d’appartenir à un groupe structuré de harceleurs en ligne (traduction : d’être des Français qui commentent leur désaccord avec la tyrannie sanitaire et expriment leur colère sur les réseaux sociaux)
. d’avoir posté leurs commentaires de façon concertée sur les comptes de 3 personnes : la sénatrice PS de Charente Mme Nicole Bonnefoy, un chef de service de l’IHU d’Amiens et la député LREM de Moselle Isabelle Rauch. Celle-ci regrette d’avoir été « traitée de nazie sanitaire » sur son compte Facebook et avait déposé plainte déjà au printemps 2021.
Les rebelles 2.0 voulaient interpeller les responsables politiques et médicaux de leur localité sur l’apartheid sanitaire et ont posté des messages sans ambiguïté dans le fil des commentaires des réseaux sociaux des « victimes » (attention, âmes sensibles s’abstenir !) : ils y dénoncent un « chantage vaccinal », « le véritable virus (qui) est le gouvernement et le système qui tuent les personnes et détruisent la société » et enfin disent « stop à la suppression des droits ». Hyper choquant !
Ces commentaires – très graves au regard de la dictature jupitérienne qui n’accepte plus aucune critique de ses pions serviles sous peine d’emprisonnement – ont déclenché l’assaut des forces étatiques. En effet, le pôle national de lutte contre la haine en ligne, et même l’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité ont été immédiatement mobilisés pour arrêter les méchants commentateurs et les placer en garde à vue.
D’après la section de recherche de Metz, les personnes impliquées dans ce délit d’opinion numérique seraient membres d’un groupe d’origine italienne appelé Vivi ou V_V. Ce dangereux groupe aurait une tactique presque militaire, tenez-vous bien : « laisser des commentaires sous les messages des personnes visées, plutôt que de poster des contenus ».
Ces 8 Français encourent pour harcèlement en ligne deux ans de prison ferme et 30 000 euros d’amende.
Or le terrorisme d’Etat à l’encontre des Français qu’il veut dominer et asservir ne s’arrête pas là ! Un article de la Revue des Médias nous apprend que 48 pays dont vraisemblablement la France pratiquent le trolling commandité par l’Etat. Des personnes appelées contributeurs institutionnels sont donc payées par l’Etat pour répandre l’information souhaitée par le pouvoir et contrecarrer tout discours qui ne validerait pas les actions gouvernementales.
Comment les reconnaître ? Ils sont fanatiquement pro-gouvernement, ils ne se commentent jamais entre eux mais attaquent uniquement les autres internautes critiques à l’égard de l’Etat et sont le plus souvent vulgaires dans leurs propos. L’Etat français prétend finalement lutter contre le harcèlement en ligne alors qu’il en est vraisemblablement le premier commanditaire.
Oui l’Etat est bien le premier des trolls !
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