Pour la première fois a été créé en laboratoire un embryon hybride homme-mouton contenant 0,01 % de cellules humaines.
Lors du congrès scientifique American Association for the Advancement of Science qui se tenait en fin de semaine dernière à Austin, au Texas, Pablo Ross, de l’université de Californie, à Davis (États-Unis), a annoncé que son équipe avait obtenu une chimère homme-mouton dans laquelle environ une cellule sur 10.000 était humaine. Le chercheur a expliqué cependant : « Nous pensons que ce n’est pas encore assez pour générer un organe. » D’après le National Geographic, le développement de ces embryons hybrides a été arrêté à 28 jours dont 21 dans l’utérus de l’animal.
Cet hybride constitue selon ces chercheurs un pas en avant vers la possibilité de faire croître des organes humains dans les animaux en vue de la transplantation :
« Même s’il y a encore beaucoup de travail, a souligné le chercheur, les organes produits dans ces chimères inter-espèces pourraient un jour devenir un moyen pour satisfaire la demande d’organe, en transplantant par exemple un pancréas hybride sur un patient. »
Ces folies génétiques sont de véritables expériences transhumanistes destinées, sous couvert de sauver des vies, à transformer l’être humain. Ces apprentis-sorciers chercheurs sont en train de complètement bouleverser le plan de Dieu et sa création. Dans l’utopie orgueilleuse de se faire Dieu à la place de Dieu…
Francesca de Villasmundo
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