François Fillon a coupé court à tous les espoirs du régime Hollande/Macron, qui en le faisant mettre en examen de façon expéditive, espérait l’intimider et le pousser à la démission de sa candidature. Mais au contraire, le candidat qui semblait KO lors des attaques du Canard enchainé semble désormais galvanisé par l’adversité. Les sondages qui s’étaient écroulés au début, se stabilisent ces derniers temps et même amorcent une remontée. En refusant de se laisser intimider malgré sa convocation par les juges, il est et restera candidat à la présidence, a-t-il martelé, se référant à la volonté populaire exprimée lors des Primaires qui l’avait porté en tête avec 4,6 millions de voix, tandis que le s Primaires d’une gauche honnie n’avaient même pas recueillies la moitié de ce score. « Ce n’est pas moi seulement qu’on assassine, c’est l’élection présidentielle, c’est le vote des électeurs de la droite et du centre qui est fauché ».

«Je ne me retirerai pas», «C’est un assassinat, par ce déchaînement sans précédent connu, mais ce n’est pas moi seulement qu’on assassine c’est l’élection présidentielle», a accusé le candidat. «C’est la liberté du suffrage et la démocratie qui sont violemment percutés.»  Dénonçant le «viol systématique de l’Etat de droit» et la «disparition de la présomption d’innocence». Le candidat de la Droite dénonce une manœuvre destinée à l’«empêcher d’être candidat».  «A travers moi, c’est la campagne présidentielle qui est visée.» «Je ne céderai pas, j’irai jusqu’au bout, je vous demande de me suivre». 

François Fillon a précisé qu’il se rendrait à la convocation des juges, qui intervient, – quel hasard! – deux jours avant la date-limite pour le dépôt des parrainages à l’élection présidentielle.

Les manœuvres reptiliennes de l’Elysée

François Hollande qui avec ses 89% de mauvaises opinions a battu tous les records d’impopularité et a du renoncer à se représenter à la présidence de la République, se retrouve les mains libres pour organiser des coups tordus afin de confisquer le pouvoir au profit de son dauphin, le traître Emmanuel Macron.

Le chef d’État le plus honni de toute l’Histoire de France, multiplie les coups pour tenter de neutraliser toute candidature de Droite, que ce soit la Droite molle ou la droite nationale. Du coup la Droite molle se durcit et la Droite nationale s’envole vers des sommets jamais atteints au second tour de la présidentielle.

C’est en fait un épais rideau de fumée que le système médiatico-politique télépiloté de l’Elysée envoie pour faire oublier son bilan catastrophique, le pire depuis la Première République de la Terreur révolutionnaire (1794!), en mettant en accusation tous les candidats de Droite, et en tentant de présenter son héritier, Emmanuel Macron, -le traitre qui accuse la France de crime contre l’humanité en Algérie-, comme un enfant de chœur.

En lançant sa campagne contre Fillon, l’Elysée s’est tiré une balle dans le pied

En jouant au plus malin et en lançant des présomptions de culpabilités en direction de François Fillon, l’Elysée s’est lui-même tiré une balle dans le pied, faisant du coup la promotion de marine Le Pen au-delà de ses bas calculs. L’Elysée a alors tenté de rectifier le tir en lançant une campagne judiciaire par l’intermédiaire de juges rouges contre Marine Le Pen. Du coup le fameux plafond de verre qui empêchait en 2012 marine Le Pen de franchir au deuxième tour la barre des 30% a aujourd’hui volé en éclat, puisque la candidate flirte au second tour avec les 50% tandis qu’au second tour Macron et Fillon s’effondrent. C’est pourquoi les derniers sondages ne présentent plus que les résultats du premier tour où Marine Le Pen est en tête mais de façon moins probante qu’au second tour.

Où vont s’arrêter les barbouzes de l’Elysée ?

Les manœuvres de l’Elysée pour confisquer le pouvoir se poursuivent. Les tentatives d’intimidation médiatico-judiciaires téléguidées de l’Elysée pour intimider François Fillon dans le but de laisser la place libre au traître national Macron, n’ont strictement rien donné à ce jour. Mais cela ne décourage nullement le Président le plus détesté de tous les temps et on peut se demander jusqu’où François Hollande pourrait aller, surtout lorsqu’on sait qu’il s’est publiquement vanté d’avoir fait éliminer physiquement des dizaines de personnes par les services de la DGSE au Moyen-Orient… Du Moyen-Orient à la France, où vont s’arrêter les barbouzes de l’Elysée ?

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emiliedefresne@medias-presse.info

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