Pendant que Gabriel Attal pérorait au perchoir de l’Assemblée Nationale sur son homosexualité, s’enorgueillissait d’être gay et premier ministre, des Français se faisaient poignarder par un clandestin à la Gare de Lyon. C’est cela France d’aujourd’hui…
Gabriel Attal contre le réel
Pour le ministricule Premier Gabriel Attal qui a du sa fonction à l’entendre à son homosexualité « Être Français en France en 2024, c’est pouvoir avoir un Premier ministre qui admet ouvertement son homosexualité ».
🇨🇵 LE PALTOQUET DE MATIGNON FIER DE POUVOIR AFFICHER SON HOMOSEXUALITÉ EN QUALITÉ DE PREMIER MINISTRE…
Selon les progressistes, le mariage pour tous est un progrès et une fierté. Je pose la question : En quoi se faire sodomiser représente un progrès pour l’humanité ?
Il me… pic.twitter.com/L1lemOOI2v— Pascal Laurent (@Pascal_Laurent_) February 1, 2024
Pour les Français du pays Réel, pas ses bobos-radical-chic déconnectés de la vraie vie, du bon sens, de la vraie nature, être Français aujourd’hui c’est risquer d’être poignardés dans une gare et voir Info Trafic requalifier l’acte de « malveillant ».
Pour les députés de l’Assemblée National, ceux du Rassemblement inclus, la définition de Attal de ce qu’est être Français en 2024, convient à leur esprit arc-en-ciel. Avoir un Premier ministre qui affiche fièrement son inversion c’est le top. Gaby n’avait pas encore fermé sa bouche, que les applaudissements retentissaient de part et d’autre de l’hémicycle. Les anciens du Front National morts et vivants doivent ressentir une honte immense d’avoir laissé de tels mignons et greluches prendre les rênes du FN, parti fondé pour la défense des Français et de la France. Comment en effet des olibrius qui dédaignent l’identité naturelle pourraient-ils défendre l’identité d’une nation, d’un peuple ?
La France déchristianisée d’aujourd’hui a le Premier ministre qu’elle mérite
Pour le simple Français, qui a participé, ne le nions pas, à la chute de son pays en votant pour les pires représentants politiques depuis des décennies, être Français en 2024 c’est voir le montant de ses factures croître de manière exponentielle, son agriculture disparaître, son cadi de courses toujours plus cher, toujours plus vide, sa vie sous contrôle des Big Brothers bruxellois et macronien, sa santé menacée par ceux qui devraient la protéger, son pays envahi par des chances pour la France maniant le couteau tueur avec dextérité, son peuple s’invisibiliser, sa civilisation trépasser et sa nation être la risée du monde avec le mioche moche Séjourné. Et la litanie des désolations est encore longue…
La France déchristianisée d’aujourd’hui a le Premier ministre qu’elle mérite… Mais rappelons-nous les belles paroles de Saint Pie X, « elle ne périra pas, la fille de tant de mérites » :
« Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se repentira et retournera à sa première vocation. Les mérites de tant de ses fils, qui prêchent la vérité de l’Evangile dans le monde presque entier, et dont beaucoup l’ont scellé de leur sang ; les prières de tant de saints qui désirent ardemment avoir pour compagnons de gloire céleste les frères bienaimés de leur patrie ; la piété généreuse de tant de ses fils qui, sans s’arrêter à aucun sacrifice, pourvoient à la dignité du clergé et à la splendeur du culte catholique… appelleront certainement sur cette nation les miséricordes divines. Les fautes ne resteront pas impunies, mais elle ne périra pas, la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes.
« Un jour viendra, et nous espérons qu’il n’est pas très éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et entendra une voix qui lui répètera: « Ma fille, pourquoi me persécutes-tu ? » Et sur sa réponse : « Qui es-tu, Seigneur ? » une voix répliquera : « Je suis Jésus que tu persécutes. Il t’est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même. » Et elle, tremblante et étonnée, dira : « Seigneur, que voulez-vous que je fasse ? » Et lui : « Lève-toi, lave tes souillures qui t’ont défigurée, réveille dans ton sein tes sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille aînée de l’Eglise, nation prédestinée, vase d’élection, va porter, comme dans le passé, mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la terre » (Allocution consistoriale du 29 novembre 1911).
Francesca de Villasmundo
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