Le juge a estimé que cela ne viole pas la liberté religieuse parce que « le contrat de services ne demande pas que le CSS exprime son approbation ou désapprobation religieuse concernant les personnes qui recourent à ses services » et parce que « quand les agences religieuses choisissent de recevoir l’argent du contribuable pour fournir des services publiques d’assistance aux mineurs, leurs convictions religieuses ne peuvent prévaloir sur les intérêts des enfants dont elles ont la charge. »
Le site pro-vie italien qui publie cette information commente fort justement :
« l’aspect religieux n’est pas l’essentiel. Il s’agit plutôt de la morale naturelle qui exige qu’un enfant grandisse avec un père et une mère. Même un athée peut comprendre cela ».
Nous pouvons rajouter, en retournant au juge ses propres arguments, qu’il est discriminatoire d’empêcher un enfant d’avoir un papa et une maman !
Francesca de Villasmundo
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