Deux poids et deux mesures: alors que depuis quelques jours les émeutes enflent à Bastia, avec cocktails molotovs, incendies, destructions, violences et découverte d’une importante cache de puissants explosifs proche de la préfecture, une manifestation est autorisée, bien protégée par les forces de police mobilisées. A Calais, la loi s’applique tout autrement; une simple manifestation pacifique en soutien au général Piquemal a été interdite au nom de l’état d’urgence, et la promenade qui devait remplacer la manifestation a été aussitôt bloquée et les organisateurs arrêtés. La préfecture, pour justifier l’interdiction a prétexté qu’il y aurait aussitôt une contre-manifestation de gauche. Donc, au lieu d’interdire la contre-manifestation de gauche qui n’a pas demandé d’autorisation, les manifestants anti-immigration qui l’ont sollicitée, sont privés du droit de manifester.
C’est la justice sous dictature socialiste.
Quelle leçon tirer de l’état d’urgence à géométrie variable ? L’État socialiste ne comprend que la force ou le parti de l’étranger, tels que les no-borders partisans d’un monde sans frontières où les autochtones doivent disparaître pour faire de la place aux migrants, surtout lorsqu’ils sont musulmans.
L’organisateur de la « marche citoyenne », marche qui remplace la manifestation en soutien au général Piquemal non autorisée, se montrait vendredi, veille de la « promenade », le plus modéré et amical possible avec l’ordre préfectoral, comme le montre la vidéo ci-dessous, était-ce la bonne solution ? De toute évidence non!
Williy Destiert, (Photo ci-contre) ancien militaire, organisateur vient de se faire interpelé par la police ainsi que trois autres « promeneurs ».
Les personnes qui s’étaient rassemblées en soutien au général Piquemal, arrêté lors de la manifestation Pegida à Calais le 6 février, ont été bloquées en début d’après-midi au niveau de la gare de Calais par la police. Ils s’apprêtaient a aller déposer des gerbes de fleurs en différents monuments de la ville.
La manifestation avait été interdite par la préfecture du Pas-de-Calais.
Mais, les manifestants pacifiques ont été dispersés vers 14h45, sous prétexte de risque de trouble à l’ordre socialiste.
Quatre interpellations ont eu lieu dont celle de l’organisateur Willy Destierdt.
Cent cinquante policiers, CRS et agents de la Sécurité publique répartis en une quinzaine de cars, avaient été déployés en ville pour empêcher le déroulement de cette marche qui devait accueillir des ex-légionnaires ou parachutistes.
Willy Destierdt avait annoncé une « promenade citoyenne », par petits groupes qui devaient déposer à partir de 14 heures des gerbes de fleurs devant divers monuments honorant la mémoire de soldats français morts au combat. De 20 à 30 personnes, selon la préfecture, dont plusieurs bérets rouges (parachutistes) et bérets verts (légionnaires) arborant des médailles militaires, avaient répondu à son appel.
Ils ont joué au chat et à la souris avec les forces de l’ordre pendant une heure environ. Willy Destierdt est parvenu à déposer une gerbe devant le monument aux morts des cheminots face à la gare de Calais. Auparavant, il avait tenté de déposer des fleurs face à l’Hôtel de Ville, devant le monument au Souvenir français dédié aux « morts pour la France » d’avant les deux guerres mondiales. Sans succès, en raison de la présence de cordons de CRS, qui ont interpellé l’ancien militaire.
Trois autres manifestants ont ensuite été interpellés pour avoir tenté d’enfreindre l’interdiction de se rassembler, soit un total de quatre selon le sous-préfet de Calais, Vincent Berton. Peu avant 15 heures, les CRS ont dispersé les manifestants, dont le rassemblement a pris fin.
« Tout ça s’est fait sans heurt », s’est félicité Vincent Berton. « Nous n’avons pas besoin de perturbateurs (…), on est déjà dans une situation difficile, cette ville a besoin de sérénité et de calme », a-t-il ajouté.
(Source)
Par contre, dans le même temps, une manifestation gauchiste d’antifas a pu se dérouler avec tags sur les murs de Nantes et peinture sur les agences bancaires et contre des commerces, sans aucune interpellation. Certains, encagoulés, ont copieusement arrosé de peintures des commerces, surtout des agences bancaires, ainsi que la mairie, rue de Strasbourg, et tagué des murs.
CRS et militants « anti-flics » sont toutefois restés à distance respectueuse. Les premiers lançant des pétards, boules de peinture et fumigènes. Les seconds répliquant en envoyant des gaz lacrymogènes. Pas d’affrontement direct.À force de tomber sur des rues fermées, les manifestants ont fini par revenir au Bouffay, avant de terminer la virée aux Nefs. (Source)
Cherchez l’erreur! Le pouvoir est du côté des casseurs et l’anti-France.
Et si la colère des Corses venait à réveiller la torpeur du reste de la France ?
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