Le président russe a exprimé, au nom de la Russie, les condoléances à toutes les familles des victimes du Boeing 777 de Malaysia Airlines. « Il va de soi que l’Etat sur le territoire duquel cela s’est produit porte la responsabilité de cette terrible tragédie », a déclaré M. Poutine.

Selon Poutine, « cette tragédie n’aurait pas eu lieu si la paix avait été instaurée sur la terre de l’Ukraine et si les combats n’avaient pas été repris dans le sud-est du pays ».

« Je demande au gouvernement de Russie de faire appel aux possibilités des agences civiles pour mener une enquête minutieuse de cet accident », a-t-il ajouté. « Nous devons faire tout ce qui est en nos forces pour que l’opinion publique de notre pays, de l’Ukraine et du reste du monde apprenne la vérité sur cet accident », a exigé Vladimir Poutine qui a déjà donné des instructions appropriées aux militaires russes pour qu’ils accordent une assistance aux enquêteurs.

Mais l’Agence fédérale russe du transport aérien vient de créer la surprise en annonçant que le missile qui a abattu le Boeing de la Malaysian Airlines pourrait avoir en réalité visé une toute autre cible : l’avion présidentiel de Vladimir Poutine.

L’avion de Poutine a croisé le Boeing malaisien dans le ciel de Varsovie. Et l’Agence fédérale russe du transport aérien ouvre une nouvelle piste : le tir de missile n’a-t-il pas confondu les deux avions ?

 

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