Le 24 mars, Bill Gates a accordé une interview de 50 minutesà Chris Anderson, l’administrateur de TED (Technology, Entertainment and Design), une organisation à but non lucratif mais mondialiste qui dirige les TED Talks, conférences qui ont pour but de diffuser dans le grand public des « idées qui en valent la peine » afin « de changer le monde ». Les conférences Ted, qui se définissent comme « un propagateur d’idées », sont l’outil de promotion du libéralisme-libertaire, du conformisme Lgbtqi+, du féminisme castrateur, du réchauffement climatique à l’accueil inconditionnel des nouveaux nomades de la mondialisation… en résumé ces conférences sont l’écho de toutes idées à la mode, prisées par les élites, les milliardaires mondialistes et les institutions onusiennes, qui convergent en une seule et même révolution anthropologique aux multiples facettes, la révolution arc-en-ciel.
Au cours de cet entretien, le milliardaires Bill Gates, vers la 34e minutes, révèle son hostilité à l’immunité de groupe et sa détermination à imposer un vaccin obligatoire. « Nous ne voulons pas avoir beaucoup de personnes guéries… Pour être clair, nous essayons – à travers la fermeture aux États-Unis – que pas plus d’un pour cent de la population ne soit infectée » explique-t-il, pour ajouter ensuite :
« Finalement, nous devrons avoir des certificats indiquant qui est une personne guérie, qui est une personne vaccinée …
… Parce que vous ne voulez pas que les gens se déplacent dans le monde où vous aurez des pays qui ne le contrôleront pas, malheureusement.
Vous ne voulez pas bloquer complètement la possibilité pour les gens d’y aller et de revenir et de se déplacer. »
En clair, puisque l’immunité de groupe aura été impossible par ce confinement généralisé, et que les patients guéris bénéficiant d’anti-corps n’étant qu’une infime partie de la population, la vaccination pour tous préconisée par Bill Gates deviendra la solution obligatoire adoptée par la majorité des pays pour sortir du confinement, rouvrir les frontières et relancer leur économie.
Quand on sait par ailleurs que « le marché des vaccins a été multiplié par six au cours des deux dernières décennies, représentant aujourd’hui plus de 35 milliards de dollars », selon la société d’investissements AB Bernstein qui souligne également que « l’industrie s’est consolidée en quatre grands acteurs qui représentent environ 85% du marché – le fabricant de médicaments britannique GlaxoSmithKline, la société pharmaceutique française Sanofi et les sociétés américaines Merck et Pfizer » et que « pour chaque dollar investi dans la vaccination dans les 94 pays les plus pauvres du monde, le rendement net est de 44 $ », on réalise que l’option de Bill Gates permettra ainsi, aux laboratoires pharmaceutiques dans lesquels Gates a ses intérêts d’engranger des milliards et des milliards, tout en renforçant le contrôle de la « santé » mondiale par des institutions internationales elles-mêmes financées par… Bill Gates. La boucle est bouclée, le serpent se mord la queue…
Francesca de Villasmundo
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