Thierry Laurent Pellet, un entrepreneur devenu espion malgré lui, nous livre un témoignage poignant sur la réalité complexe de l’Ukraine. Invité sur le Libre Journal de Géopolitique Profonde animé par Nicolas Stoquer, Pellet partage son expérience troublante, dévoilant les dessous d’une corruption endémique qui gangrène le pays.
Dans son ouvrage Ukraine, Entrepreneur Espion: Malgré lui, Pellet retrace son parcours, où il s’est retrouvé au cœur d’un réseau de corruption profondément enraciné en Ukraine. Ce livre est un document précieux pour comprendre les mécanismes internes qui régissent ce pays, où les oligarques, les influences étrangères, et les manipulations politiques se mêlent pour former un cocktail explosif.
La véritable nature du conflit, loin des simplifications propagandistes
La situation actuelle du conflit russo-ukrainien est un triste prolongement de ces dysfonctionnements. L’Ukraine, autrefois carrefour stratégique entre l’Est et l’Ouest, est désormais un terrain de bataille où se jouent des enjeux géopolitiques dépassant largement ses frontières. Depuis l’Euromaidan en 2014, considéré par beaucoup comme une révolution de couleur orchestrée, le pays a basculé dans une spirale de violence et d’instabilité, exacerbée par les ingérences américaines et de l’OTAN.
Ce témoignage de Thierry Laurent Pellet nous invite à reconsidérer la vision manichéenne souvent véhiculée en Occident. Derrière la façade de la lutte pour la liberté, se cache une histoire complexe de corruption et de manipulation où les véritables victimes sont les citoyens ukrainiens. Aujourd’hui, ce sont ces mêmes citoyens, civils et soldats, qui payent le prix fort dans une guerre largement instrumentalisée par les puissances occidentales. Un éclairage nécessaire pour comprendre la véritable nature du conflit, loin des simplifications propagandistes.
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Ce ne sera pas une grande perte, cette gauchiste déguisée en bleu.
justice impartiale, ah bon, aun temps de St Louis sans doute, mais depuis l’eau est passé sous les ponts. Ces juges méprisables sont les dignes descendants des accusateurs publics de la révolution, ce sont les mêmes pourris
Quand Génération Identitaire, Civitas ont été dissout personne ne s’en est ému à droite.
Fallait bien s’attendre à ce que cela continue… C’est la marque de fabrique de la « maison » : les procès.
C’est vite oublier la manière dont le lider maximo a été mis au pouvoir : pseudo procès à son principal rival.