On ne dira jamais assez que la révolution sexuelle avance avec le nouvel ordre mondial. Or, ce nouvel ordre mondial, pour s’imposer, doit vider les nations de leur substance. Pour y arriver, de nombreuses nations sont victimes d’une double offensive. Elles sont affaiblies à la fois par l’émergence des autonomismes locaux et par l’emprise d’organismes supranationaux.
Le cas espagnol illustre bien cette orchestration. Les mouvements autonomistes s’y développent avec force. Et le lobby LGBT a su trouver des oreilles plus qu’attentives au sein des institutions régionales.
La Galice vient notamment d’approuver une loi « contre les discriminations à l’égard des lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels et intersexes ». Une loi qui, au final, accorde un certain nombre de privilèges aux LGBT les plaçant au-dessus des autres citoyens. C’est un triomphe clair de l’homosexualité politique et de sa doctrine de l’idéologie du genre dans les institutions publiques et politiques.
Différentes régions se préparent à des lois similaires. C’est le cas de la Catalogne et l’Andalousie mais aussi du Pays Basque et de la Communauté de Valence.
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