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Epidémie de décès de jeunes mais pas à cause du covid…

A l’heure où l’on en cesse de parler de « l’épidémie de covid » pour maintenir des mesures liberticides et créer un climat anxiogène, alors que cette maladie qui n’est pas la peste loin de là, il en est une autre occultée, cachée, tant par les gouvernements que par les médias, l’épidémie de décès parmi les jeunes générations. 

Au Angleterre, une école est endeuillée après le décès de deux élèves la même semaine :

« Une école est en deuil après la mort subite de deux élèves en une semaine, titre l’Express du Royaume-Uni. Les jeunes d’une école sont en deuil après la mort de deux élèves en une semaine. Harry Towers et Mohammed Habib sont décédés au cours du mois d’octobre. Le St John Fisher Catholic College de Newcastle-under-Lyme, dans le Staffordshire, a veillé à ce qu’un soutien soit disponible pour ses étudiants et son personnel en deuil. »

Les deux élèves avaient 11 et 10 ans, Harry est décédé le 30 octobre, et Mohammed le 24 octobre. « À ce stade, la cause de chaque décès n’a pas encore été déterminée et par respect pour les deux familles, nous demandons aux gens de ne pas spéculer, notamment sur les réseaux sociaux, en cette période très difficile » a déclaré le directeur de l’école Garrett Murray. Une grande majorité d’enfants britanniques étant vaccinés, et la mortalité des jeunes étant en hausse cette année, il est difficile de ne pas se demander s’il existe une corrélation entre la vaccination et le décès de ces deux écoliers.

En Italie, un frère et une sœur sont décédés, tous deux fraichement vaccinés contre le covid. L’histoire a été pratiquement occultée par les médias et ceux qui l’ont rapportée ont omis l’information la plus importante de toutes. Il s’appelait Alexandre Campo. Il avait 25 ans et est décédé quelques jours après avoir reçu le sérum expérimental de Pfizer. Elle s’appelait Vittoria Campo, elle avait 25 ans et est décédée d’une mystérieuse maladie.

Toujours dans le Bel Paese aux prises avec une des dictatures sanitaires covidiennes les plus restrictives de l’Europe, c’est l’histoire dramatique d’un enfant mort dans l’utérus. La nouvelle maman était dans son neuvième mois et attendait juste d’accoucher. Le 9 octobre, elle s’est rendue chez son gynécologue et lui a dit que 48 heures après le lundi 11, elle aurait la deuxième dose de vaccin Pfizer. Le mardi 12, elle retourne chez le gynécologue pour le dernier examen de routine avant l’accouchement. C’est dans cette circonstance que le médecin se rend compte que le petit cœur ne bat plus, suggérant que le petit était maintenant décédé. Le père de l’enfant a porté plainte. Parmi les hypothèses du décès, il y a celle d’une thrombose du cordon ombilical.

A la différence de la France, les journaux locaux italiens relatent régulièrement, presque quotidiennement, de tels décès susceptibles d’être attribués à la vaccination anti-covid.

L’Ecosse connait également une surmortalité dans les jeunes générations : « il y a eu un déploiement des vaccinations Covid de manière séquentielle vers des tranches d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un schéma que nous voyons dans la manifestation d’un excès de décès » écrit un professeur de Biologie, Richard Ennos. Les vaccins anti-covid, affirme-t-il, sont maintenant associés à un large éventail d’effets secondaires graves » et ont déjà été enregistrés « plus de 1 700 décès dans la population britannique associés aux vaccins COVID-19. Il y a donc un cas prima facie pour que la vaccination COVID-19 soit un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire des décès excessifs en été en Écosse en 2021.»

Ne parlons pas des footballeurs foudroyés sur le terrain. Le quotidien France Bleu ne peut s’empêcher de parler d’ « un fléau qui se multiplie sur les terrains de football amateurs : les arrêts cardiaques ». Ce « fléau » touche pareillement d’autres catégories de sportifs : cette semaine c’est un joueur de hockey canadien qui est décédé pendant une partie. Si chaque année décèdent entre 5 et 8 sportifs d’arrêt cardiaque subit, pour ces cinq derniers mois, c’est-à-dire à partir de juin lorsque les campagnes de vaccination battaient leur plein, sont déjà répertoriés plus de 75 cas connus, le plus jeune de la liste n’avait que 13 ans, et la majorité moins de 20 ans.

La longue liste des enfants et des jeunes qui décèdent subitement, et ayant un point commun d’être vacciné contre le covid, ne fait que s’allonger…

Francesca de Villasmundo 

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