On connaît l’appétence des médias du régime dans le mensonge sensationnaliste, notamment en ce qui concerne les tensions raciales. N’importe quel récit sur des « agressions racistes » que des gens issus « des minorités » prétendent avoir subis empli des pages entières. Mais quand – beaucoup plus souvent qu’on ne le pense – il s’avère que les faits étaient bidons, le démenti ne fait que quelques lignes. Les faits ont pris une telle proportion que depuis 2017 Aux Etats-Unis le site associatif fakehatecrimes.org s’est créé afin de répertorier des exemples nationaux de ces incidents.
Aux Etats-Unis, une nouvelle affaire de fausse agression islamophobe vient d’être révélée. Selon le journal Fox 5, une jeune musulmane de13 ans avait prétendu le 6 avril avoir été agressée pour motifs religieux dans la ville de Woodbridge, en Virginie. Les faits furent démentis le 10 : « La police accuse une jeune fille de 13 ans d’avoir dénoncé un crime imaginaire. Elle avait à l’origine dit qu’un homme l’avait menacée avec son couteau et lui avait arraché son foulard. Les enquêteurs ont fait l’annonce mardi. Les agents disent que la jeune fille leur avait d’abord signalé qu’un homme s’était approché d’elle dans l’après-midi du 6 avril près de Riverview Lane et de Jato Court à Woodbridge. La jeune fille avait dit à la police qu’alors qu’elle marchait, l’homme s’est mis face à elle, l’a insultée et a sorti un couteau. La jeune fille avait également dit à la police que l’homme l’avait traitée de terroriste et lui avait arraché son foulard, connu sous le nom de hijab. Selon la police, les détectives ont été en mesure de déterminer que la victime avait menti sur cette soi-disant agression. Elle est accusée d’avoir sciemment menti dans sa déclaration à la police. Le cas de l’adolescente sera traité par un tribunal pour enfants ».
Cette affaire n’est pas sans rappeler la fausse agression islamophobe censée s’être déroulée au Canada à Toronto le 12 janvier 2018. Le site d’extrême gauche Slate en avait fait un long article indigné par Camille Jourdan. dès le lendemain. Une dénommée Khawlah Noman a prétendu avoir été agressée en compagnie de son petit-frère. Voici comment Slate avait présenté les faits : « Ce vendredi 12 janvier, se rendait à l’école avec son frère, dans les rues de Toronto. Sur le chemin, un homme, âgé apparemment d’une vingtaine d’années, l’a approchée par derrière et a découpé son voile à l’aide d’une paire de ciseaux. Les deux enfants se sont alors dirigés vers un groupe de personnes «pour être plus en sécurité», mais l’agresseur est revenu, et a recommencé son manège avant de s’enfuir. Il aura tout de même réussi à déchirer le hijab de la petite Khawlah sur pas moins de «trente centimètres», précise le site de La Presse, au Canada. La jeune fille, qui s’est dit «terrorisée», est saine et sauve ». Effroyable non ? Et Slate de pointer du doigt le bouc émissaire habituel : l’extrême droite. Sans pudeur, les Musulmans – dont il faut rappeler que TOUTES les minorités religieuses sont persécutés dans TOUS les pays musulmans (de la démocratique Malaisie à la fanatique zone de l’ISIS et du riche Qatar à la misérable Somalie) – ont demandé au gouvernement fédéral de déclarer le 29 janvier jour de mémoire et de lutte contre l’islamophobie. Le premier ministre canadien s’est fendu d’un de ses tweets de dhimmi dont il a le secret : « Je pense de tout cœur à Khawlah Noman, qui a lâchement été attaquée ce matin à Toronto. Le Canada est un pays ouvert et accueillant. Les attaques de ce genre ne peuvent pas être tolérées ».
Or, tout était bidon !!! Le 15 janvier, la police de Toronto a publié un communiqué informant qu’elle a terminé l’enquête et en a conclu que cet incident n’aurait pas eu lieu. Comme l’avait conclu Valeurs Actuelles dans un article mis en ligne le 16 janvier : « Un beau désaveu de l’emballement médiatique qui sévissait ces derniers jours au Canada. La presse s’était en eet précipitée au chevet de la jeune fille, dénonçant en coeur « l’islamophobie » rampante du pays. Le Premier ministre Justin Trudeau lui-même s’y était laissé prendre, réagissant sur Twitter pour ne pas faillir à sa réputation de partisan acharné du multiculturalisme ». Notons que Slate, fidèle à la lâcheté et au mensonge qui sont la marque de fabrique de ce torchon, a relégué l’article dans un endroit non-visible dès le démenti fait, sans le supprimer et se contentant d’un vague rectificatif au conditionnel, que personne ne lira, l’article étant camouflé… Notons également que cela montre la hiérarchie des races chez Slate : un grand article sur une fausse agression d’une musulmane, pas un mot sur le viol de milliers de petites blanches en Grande-Bretagne par les mêmes musulmans. Mais bon, il est notoire pour ceux qui le surveille que Slate soutient le communautarisme noir et musulman et prône l’élimination des leucodermes…
D’autres fausses agressions islamophobes ont également été signalées aux Etats-Unis depuis l’élection de Donald John Trump : deux jeunes femmes avaient ainsi prétendu d’être fait arracher leur hijab, l’une à New York et l’autre à l’Université de Louisiane. Faits qui, après enquête, n’avaient existés que dans leur imagination.
Hristo XIEP
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