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En pleine crise du coronavirus, entreprises à l’arrêt et avortoirs en marche

Nos États démocratiques se veulent le gestionnaire de la personne humaine, de la vie à la mort, de leur vie et de leur mort. La nature n’a plus ses droits et l’Etat a tous les droits. Notre société post-moderne respire l’orgueilleux par tous ses pores et les contradictions par toutes ses dispositions.

D’un côté, les gouvernements occidentaux, pressés par des juges et médecins altruistes, prônent l’euthanasie pour les vieillards, handicapés et malades las de la vie, et dont les EPAD, hôpitaux, sécurité sociale et familiers sont las, l’affaire Vincent Lambert en fut un exemple parlant, d’un autre ils confinent des millions de concitoyens en bonne santé pour sauver quelques probables futurs euthanasiés qui de leur « bonne mort » naturelle seront privés pour être soumis à la « douce mort » par injection interposée, et la mise à mort des enfants dans le ventre de leur mère reste un soucis primordial du gouvernement Macron en plein confinement humanitariste…

Pour Laurence Rossignol, l’ancien ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femmes sous la présidence de Hollande, la priorité en pleine crise du COVID19 est de continuer à pratiquer des avortements. Une priorité qu’a entendu Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé. Vendredi 20 mars, il a précisé, lors de son point presse, que malgré le confinement qui frappe la majorité des Français, point de confinement naturel pour les bébés à naître dont la mère ne veut pas : « les centres pour réalisation d’IVG restent ouverts pendant la crise » !

Tout est dit. Ces politiciens et technocrates au pouvoir ne sont qu’une bande d’hypocrites. De la vie, de la mort, de la nature, ils n’en ont cure…

Francesca de Villasmundo

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