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En Italie, pas de Dolce vita pour les non-vaccinés covid. En France pareillement.

Même le quotidien américain super bien-pensant le note, et le déplore : en Italie titre le Wall Street Journal pas de Dolce vita pour les non-vaccinés covid.

Comme Macron, le banquier Draghi, « Super Mario » pour les intimes, veut « emmerd… » les réfractaires à l’injection expérimentale anti-covid par tous les moyens. Pour rendre la vie des non-vaccinés un quasi ‘enfer’, il use et abuse de son « super Green pass », qui n’a jamais servi de mesure de santé publique mais a toujours été une mesure politique visant à conforter l’électorat âgé et à faire avancer le Great Reset. Et qui ose s’opposer à cette marche en avant vers une numérisation des citoyens et un contrôle constant de leurs faits et gestes décrétés au Forum de Davos doit être mis hors d’état de nuire, dans tous les pays occidentaux dont les dirigeants sont des créatures de Schwab et des réseaux occultes influents.

Les parallèles entre la France et l’Italie sont légion dans la gestion de la crise sanitaire, ce qui est une preuve que le narratif est écrit à l’avance dans des cabinets de conseils tels McKinsey, vieille connaissance des deux banquiers Macron et Draghi.

Dès le vieux Mattarella intronisé aujourd’hui 3 février comme Président de la République italienne à la condition de conserver Draghi comme Premier ministre, « Super Mario », a changé les règles du green pass à l’instar du véreux Olivier Véran en France qui s’est lui-aussi exprimé sur la question ce mercredi : d’un côté et de l’autre des Alpes, nul besoin pour ces bien-pensants démocratiques de passer par la case parlementaire pour imposer des mesures liberticides ni de suivre une ligne scientifique cohérente. Les règles pour l’obtention du passe vaccinal changent au gré des besoins politiques et des doses à fourguer.

Ainsi le ministre de la Santé français a-t-il décidé qu’à partir de maintenant, pour bénéficier du passe vaccinal, il faudra que le système immunitaire ait été stimulé au moins trois fois. Si « vous avez eu une injection et deux infections, ou deux injections et une infection – que cette dernière ait eu lieu avant les injections, entre les deux injections ou après -, ou trois injections, vous conserverez le bénéfice du passe vaccinal » a-t-il expliqué sur le plateau de BFMTV. Quant aux Français n’ayant reçu à ce jour aucune dose de vaccin, leur vie va être encore plus compliqué qu’auparavant : ils ne pourront plus bénéficier du passe vaccinal, même s’ils ont contracté le virus.

En Italie, Mario Draghi a annoncé une discrimination dans les écoles, à partir d’un certain nombre de cas contact dans la classe, entre enfants non-vaccinés soumis à une quarantaine et les vaccinés, libres d’aller et venir ; un confinement pour les seuls non-vaccinés dans les zones à forte contagion : parmi les mesures d’aujourd’hui figure la décision de lever les restrictions, même en zone rouge, pour ceux qui sont vaccinés » ; et il a fait une autre annonce sensationnelle : la validité super green pass, celui de trois doses, « deviendra indéfinie ». Donc, les Italiens triples vaccinés n’auront pas à se soucier de l’expiration de leur laissez-passer vert. Mais ce fait d’être « illimité » en fait aussi un danger : cela signifie en gros qu’on ne s’en débarrassera probablement plus jamais.

Eternellement faudra-t-il montrer le passeport vaccinal chaque fois que l’on entre dans un bar pour prendre un café, que l’on va au restaurant, au cinéma, à la Poste, à la banque, etc. ? D’après les annonces de Draghi, c’est OUI ! Le contrôle social à la chinoise tant pronostiqué par les complotistes devient une réalité pérenne. Un tel scénario pourrait bien se concrétisé de ce côté-ci des Alpes.

Francesca de Villasmundo

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