Des dizaines de « réfugiés » avec le certificat de résidence ont manifesté leur volonté d’exercer ce qu’ils considèrent leur droit de vote. Droit qui n’est garanti qu’aux seuls citoyens par la Constitution. Mais c’est en imposant de nouvelles revendications que les lobbies immigrationnistes font avancer le Grand Remplacement en Italie et ailleurs.
Lesecrétaire national de la Ligue Vénète, ancien maire de Vittorio Veneto, Gianantonio Da Re, annonce des protestations massives. Selon lui, les « réfugiés » pèseront dans le budget des Services Sociaux de la commune. Également dans le résultat du vote. Il parle de « nettoyage ethnique » pour « substituer une partie des citoyens avec des étrangers. » « Dans tous les cas, ironise-t-il, nous aurons tout loisir de savoir combien de réfugiés ont été régularisés par la gauche et combien nous en devrons supporter. »
Un autre responsable politique de droite, conseiller communal de la Ligue du Nord, est intervenu également : « Tant qu’on y est, pourquoi les réfugiés ne présentent pas aussi leurs représentants? »
Tant qu’on y est. Malheureusement il ne croit pas si bien dire. Dans la ville voisine de Treviso, la communauté africaine, ayant obtenue après dix ans de résidence en Italie la citoyenneté italienne, prépare une liste pour les prochaine sélections.
Et n’y a-t-il pas déjà dans la plupart des pays européens, des listes issues des rangs de l’immigration musulmane ?
« Nettoyage ethnique », c’est bien ça !
Francesca de Villasmundo
http://www.secoloditalia.it/2016/09/alle-urne-i-profughi-vittorio-veneto-pd-accarezza-lidea-scontro/
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