Aux États-Unis, le Centre de contrôle des maladies infectieuses (CDC) vient de publier à nouveau un rapport qui met en lumière les dangers potentiellement mortels des pratiques sodomites. Le rapport Morbidity and Mortality Weekly Report du 24 septembre dernier, accessible à tous, déclare que les hommes « ayant une attirance pour d’autres hommes » représentent 2 % de la population totale et 63 % de tous les cas de sida qui ont été diagnostiqués les dernières années. Plus d’un homosexuel sur deux est alors porteur du virus HIV. Globalement à ce jour 16 % de toute la population gay de sexe masculin est séropositive. Un tiers d’entre elle est dans l’ignorance de sa contagion, ce qui contribue à l’augmentation régulière de ce pourcentage. Un rapport du Public Health England (Santé publique en Angleterre) du 23 septembre va tout à fait dans le même sens. Globalement ce qui est dénoncé est « le comportement à risque ». S’ajoutent aussi les cancers anaux dont les risques sont multipliés par 17 et qui tuent dans 40 % des cas.
Bien sûr dans tous ces rapports, on oublie de mentionner la responsabilité de la promotion faite de l’homosexualité par les gouvernements dans le cadre du gender. Et le préservatif ? Une récente étude diligentée par Nam Aidsmap (carte du sida) en Thaïlande nous apprend le 28 juillet que même avec 100% d’utilisation du préservatif, un gay sur cinq contracte le VIH dans les cinq ans de son premier rapport sexuel.
Dr Jean-Pierre Dickès
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