Suite à la suspension de la campagne vaccinale par l’AstraZeneca dans de nombreux pays européens, à 17 heures aujourd’hui, l’EMA, l’Agence Européenne du Médicament,! a dissous la réserve sur le vaccin anglo-suédois, reconfirmant la confiance dans la préparation, relançant effectivement les vaccinations. La conférence a été reportée d’une heure, étant initialement prévue à 16 heures, en raison de la prolongation du sommet. Selon les experts de l’EMA, la possibilité d’un caillot fait partie des effets secondaires du vaccin AstraZeneca contre le coronavirus mais, si les caillots sanguins sont confirmés, il s’agit d’un impact infinitésimal sur le nombre de doses déjà administrées en Europe et au Royaume-Uni.
Le directeur de l’agence Emer Cooke a présenté les résultats auxquels l’EMA était arrivé concernant ce vaccin AstraZeneca :
« Nous sommes arrivés à une conclusion : le vaccin AstraZeneca est efficace contre le coronavirus et les bénéfices l’emportent largement sur les risques, et n’ont pas émergé de liens entre le vaccin et les événements thromboemboliques. Nous ferons des études spécifiques sur les effets secondaires, et nous restons confiants dans les vaccins qui sont fondamentaux pour le défi auquel nous sommes confrontés. »
Emer Cooke a ensuite souligné que « les États pourront prendre des décisions éclairées concernant AstraZeneca » avant cependant d’admettre que « sur la base des preuves disponibles et après des jours d’analyse approfondie des rapports cliniques des résultats de laboratoire, des autopsies et des informations complémentaires issues des études cliniques, nous ne pouvons pas encore exclure définitivement un lien entre ces cas de thrombose et d’effets secondaires et le vaccin. »
Le Docteur Sabine Straus, présidente du comité d’évaluation des risques de pharmacovigilance (Prac) de l’EMA, a ajouté lors de la conférence de presse sur le vaccin AstraZeneca :
« Jusqu’à hier, sept cas de coagulation intravasculaire et 18 cas de thrombose chez près de 20 millions de personnes vaccinées. »
L’EMA estime qu’il est important de « sensibiliser à ces risques potentiels en s’assurant qu’ils sont inclus dans les informations du produit en attirant l’attention sur ces éventuelles maladies rares et en informant les professionnels de santé ». L’EMA, cependant, a assuré qu’elle continuerait d’enquêter sur des cas rares.
Quelques chiffres pour rappeler ce qu’est véritablement cette « pandémie » de covid qui nécessite, selon le médicalement correct l’injection dans le corps de produits que l’EMA reconnait peuvent être potentiellement dangereux :
« De nombreuses études, écrit le journal Pour la science, fondées sur des méthodologies différentes et complémentaires – estiment que, dans la plupart des pays, la mortalité du Covid-19 se situe entre 0,5 et 1 %. »
Le site Statista note de son côté que 78% de ces décès en France concernent les plus de 75 ans. Soulignons pareillement que d’après les chiffres officiels plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans, et que l’âge moyen des victimes du Covid est de 82 ans et la moitié des morts ont plus de 85 ans.
En clair pour 0,5-1% de la population âgée, voire très âgée, la covid est mortelle et dans cette mince catégorie, plus de 78% des décès regardent les plus de 75 ans. Ces chiffres indiquent donc qu’en-dessous de 75 ans, la covid-19 pourra vous clouer au lit quelques jours, être préoccupante un certain temps, mais somme toute reste clémente, bénigne, si ce n’est sans conséquence ou absente pour la très grande majorité de la population.
Or c’est cette grande majorité que les politiques au pouvoir dans l’Union Européenne avec l’aide des médias interposés poussent à se faire vacciner avec les injections expérimentales de Pfizer et Moderna à ARNm ou le vaccin d’AstraZeneca. Et tant pis pour les effets secondaires qui peuvent être mortels…
Ainsi, malgré les nombreux décès survenus par thrombose après la vaccination par AstraZeneca et d‘effets secondaires graves comme la perte de vision ou de l’ouïe, et ce non seulement chez les personnes âgées mais aussi dans cette tranche de population qui ne court pas de danger – un militaire italien de 49 ans est mort après la vaccination-, l’Agence Européenne du Médicament vient de donner le feu vert à sa réinjection dans les bras non de malades mais de bien portants qui n’ont guère de risque de mourir du Covid… mais de mourir du vaccin anti-covid…
Francesca de Villasmundo
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