Elle devient ‘homme’ et en même temps maman. Une jeune Romaine qui voulait changer de sexe at avait commencé sa « transition » découvre qu’elle est enceinte de 5 mois.
Une fois la « transition » presque terminée, elle découvre être enceinte de 5 mois.
Le quotidien italien radical-chic, La Repubblica, raconte l’histoire de cette jeune Romaine qui voulait devenir homme et qui découvre, une fois la « transition » presque terminée, qu’elle est enceinte de 5 mois.
La protagoniste de cette histoire dystopique Anne, nous l’appellerons ainsi, a tout d’abord suivi le processus psychologique pour vérifier ‘l’incohérence de genre’ -comme l’appellent des médecins qui ont renié leur serment d’Hypocrite et abandonné le bon sens tout court-, puis les thérapies hormonales. Son physique a commencé à changer. Le visage se couvre d’une barbe et les caractéristiques masculines deviennent peu à peu prédominantes.
Anne qui se croit ‘Marco’ commence alors à éliminer ce qui restait du corps précédent et subit une mastectomie, faisant disparaître les seins. Un processus qui a atteint un stade tellement avancé que le Tribunal a autorisé la correction de l’attribution du sexe et le changement de nom sur les documents. Fini l’ancienne identité : Anne est devenue ‘Marco’ aussi pour l’État.
Cette situation crée des risques pour la future mère et le bébé à naître
Il manquait une dernière étape : l’hystérectomie, l’ablation de l’utérus. Cependant, au moment de l’opération, il est apparu immédiatement que l’artificiel ‘Marco’ mais vraie Anne était enceinte de cinq mois.
Le service hospitalier plus apprenti-sorcier que médical, où elle subissait sa « transition » se retrouve devant une situation extrêmement complexe et évoquent des risques pour la future mère et le bébé à naître.
D’une part, il y a les nombreuses difficultés à affronter liées à la dernière phase de ‘transition’ dans cette condition particulière et, d’autre part, il y a les investigations pour s’assurer que les thérapies hormonales n’ont pas causé de dommages au fœtus. Et d’autre part il y a tous les dégâts psychologiques tant pour la mère que pour l’enfant, à cause de cette folie post-moderne, cette culture du choix » qui ne tient pas compte de la nature biologique, de la réalité humaine.
Ce cas est rare, mais comme le démontre l’histoire de Anne, de la nature on ne se moque pas : elle voulait devenir ‘homme’ artificiellement et devient mère naturellement.
Francesca de Villasmundo
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