Donnant la main à une Église post-Vatican II tiers-mondiste ouverte sur un monde sans frontières ni nations, multi-culturel, melting-pot et multi-religieux, les élites européistes et mondialistes n’ont cessé durant toute la campagne électorale de faire des appels tonitruants, relayés par des médias complaisants, pour stopper l’avancée des « populistes ». Tous, évêques compris, contre Salvini et ses mesures anti-immigration !
La victoire éclatante de La Ligue signe la fin de leurs espoirs destructeurs des identités italienne, européenne, chrétienne. 34 % des Italiens qui ont été votés ont dit « oui » à la politique de leur ministre de l’Intérieur. Et c’est dans les régions où l’immigration est la plus violente ou protégée par des politiciens immigrophiles que les résultats de La Ligue sont les plus incroyables.
Ainsi sur l’île de Lampedusa, « la frontière de l’Europe », submergée par des vagues incessantes de clandestins venus d’Afrique, symbole des débarquements sur le sol italien et du discours humanitariste bergoglien, le parti de Salvini a atteint la barre des 46 %. Dans la ville de Riace, le fief du progressiste Mimmo Lucano, le maire qui a fini devant les tribunaux pour avoir fait faire des fausses cartes et organiser des mariage blancs entre habitants et « migrants » afin de permettre à des étrangers illégaux de rester sans permis de séjour en Italie, 30,75 % des électeurs lui ont donné tort et veulent faire barrage à sa politique d’accueil.
« La demande d’une immigration contrôlée et limitée n’est pas seulement un caprice de Salvini » a souligné ironiquement le vainqueur des élections.
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !