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Ecosse : la christianophobie du nouveau premier ministre musulman Humza Youssaf

humza-youssef-premier-ministre-ecosse-anti-chretienA peine intronisé à la tête du pays, le premier ministre musulman et d’origine pakistanaise d’Ecosse, Humza Youssef, a lancé sa campagne christianophobe au nom de la non-discrimination des invertis en tout genre.

Le « sultan d’Ecosse » et  le visage anti-chrétien de son gouvernement 

Certains le surnomment le « sultan d’Ecosse » en référence à ses origines ethniques et à sa religion. Un surnom qui lui va comme un gant au regard de ses premières décisions. Quelques jours seulement depuis la victoire interne au sein du Scottish National Party et l’élection en tant que premier ministre de l’Ecosse, Humza Yousaf montre le visage anti-chrétien de son gouvernement dévoué aux lobbies de l’avortement et arc-en-ciel.

Il confirme ses promesses de campagne de mettre en place des « zones tampons en dehors des cliniques d’avortement », d’adopter une interdiction totale des « thérapies de conversion » (la thérapie de conversion, également appelée thérapie réparatrice ou thérapie de réorientation sexuelle, est une pratique médicale visant à modifier l’orientation sexuelle d’une personne, de l’homosexualité originelle à l’hétérosexualité, ou à éliminer ou au moins à réduire ses désirs et son comportement homosexuels) et de « consolider » les droits des personnes LGBTQ+ dans le pays.

Ces décisions que Human Youssaf s’apprête à établir ont suscité les vives réactions critiques des représentants des diverses Eglises chrétiennes. Le 3 avril dernier, ils ont exhorté, dans une déclaration, le gouvernement à reconsidérer ses plans pour son interdiction générale des « pratiques de conversion » qui pourraient porter atteinte à la liberté religieuse et à la liberté parentale.

Ces décisions porteront atteintes à la liberté parentale et à la liberté d’enseignement chrétien

Sous l’administration de l’ancien Premier ministre Nicola Sturgeon, les ministres s’étaient déjà engagés à interdire toutes les activités visant à « changer, supprimer ou inhiber l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne ». Les signataires de la déclaration craignent que cette interdiction ne criminalise l’enseignement orthodoxe de la doctrine chrétienne et même interdise le message biblique divin sur la création, le mariage hétérosexuel et la famille : « Ces propositions, si elles sont adoptées par le Parlement écossais, criminaliseraient la pastorale religieuse traditionnelle, l’orientation parentale et l’intervention médicale ou autre professionnelle liée à l’orientation sexuelle, à moins qu’elle ne soit approuvée par l’État comme acceptable », ont averti les évêques romains le 16 janvier dernier.

« Les prêtres pourraient être interdits de travail en Écosse, l’Église pourrait perdre son statut d’organisme de bienfaisance et les enseignants de classe et de pastorale pourraient perdre leur emploi », ont-ils déclaré. « Il y aurait une incertitude quant à l’avenir des écoles catholiques et des enfants pourraient être retirés à leurs parents. En tant que premiers éducateurs de leurs enfants, les parents ont seuls le droit de conseiller et de guider leurs enfants en ces matières. » Cette criminalisation, continuent-ils « s’appliquerait même si la personne ayant ces problèmes voulait de l’aide pour suivre l’enseignement de l’Église, car cette loi dirait qu’on ne peut pas consentir à cet enseignement ».

L’interdiction de la foi chrétienne pourrait être le véritable objectif explicite de nombreux promoteurs de la nouvelle législation

La déclaration souligne qu’une telle interdiction criminaliserait effectivement tous les chrétiens et les dirigeants des Eglises pour avoir déclaré que « le seul endroit pour l’activité sexuelle est dans le mariage d’un homme et d’une femme pour la vie, et que Dieu a créé chacun de nous homme ou femme, selon Sa volonté parfaite ».

Les évêques se demandent si l’interdiction de la foi chrétienne elle-même ne serait pas le véritable « objectif explicite de nombreux promoteurs de la nouvelle législation » ?

Le Christian Institute de Londres avait déjà émis un avis juridique en décembre dernier, en précisant que ces propositions « fondamentalement illibérales » allaient « au-delà des pouvoirs du Parlement écossais de légiférer » et menaçait d’une action en justice contre une éventuelle approbation, comme cela s’est déjà produit avec succès en Angleterre et au Pays de Galles.

En attendant, la criminalisation du christianisme et des chrétiens est dans l’air en Écosse par le biais du Premier ministre musulman Youssef.

Quand est-ce que les mannes de Rob Roy, Robert the Bruce et William Wallace viendront-elles réveiller la fierté perdue des Highlanders afin qu’ils combattent contre les nouveaux envahisseurs arc-en-ciel et les colonisateurs islamiques de la terre et du peuple écossais ?

Francesca de Villasmundo

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