Le sujet est terrible et démontre quelle folie peut atteindre l’espèce humaine quand on la laisse à ses plus bas instincts. La culture de mort a ouvert la boite de pandore des passions déréglées et légiférées par les États permissifs: de l’avortement, aux mœurs contre-nature, au gender et aux trans, l’homme se croit tout permis et se vautre dans la permissivité la plus totale. Quand l’homme fait la bête, il devient pire qu’une bête !
Si le chien est le meilleur ami de l’homme, quel moyen meilleur pour devenir ami d’un homme que de se travestir en chien ? C’est ce qui doit peut-être traverser la tête des membres d’une communauté du Royaume-Uni qui compte 10 000 sympathisants, qui aiment se travestir et se comporter comme des chiens. Ces hommes-chiens se croient des animaux, remuent de la queue pour recevoir des caresses de leur maître, pour se faire donner à manger dans une gamelle, se promènent à quatre pattes dans les rues de la ville en faisant semblant d’uriner contre un poteau, sont tenus en laisse, grognent quand ils sentent un danger, et assument toutes les attitudes que Milou connaît si bien. Avec un de plus, mais de taille, que le chien ne connaît pas, des rapports contre-nature avec leur maître !
La plupart de ces cynophiles extrêmes proviennent en effet de la communauté homosexuelle. Ils le disent, le revendiquent comme ils prétendent aujourd’hui qu’on leur reconnaisse leur nouvelle identité d’espèce ! Tom, l’un de ces hommes-chiens, explique qu’il se sent « comme peut se sentir un gay, un hétéro, un trans, et être accepté. Tout ce que je veux c’est que la communauté des chiens soit acceptée de la même manière. Nous ne sommes pas entrain d’essayer de causer de la douleur au autres, ou de causer de la douleur aux rapports sociaux. Nous sommes seulement comme une quelconque autre personne dans la rue. »
A nier la réalité des sexes, on passe sans problèmes à la négation de l’identité : toujours plus en avant dans cette idéologie « trans » destructrice qui veut construire une humanité nouvelle affranchie des lois naturelles, physiques et biologiques, affranchie de la réalité, et soumise totalement à l’imagination perverse et aux sens débridés. Apothéose de l’évolutionnisme darwinien qui fait descendre l’homme du singe dans son arbre pour retourner aujourd’hui à l’état de bête, chien, chat ou singe !
Quand l’homme fait la bête, il devient pire que la bête: ce n’est pas Attention au chien qu’il faut écrire sur les panneaux mais Attention à l’homme !
Francesca de Villasmundo
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