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Du passe sanitaire au passe climatique, il n’y a qu’un état d’urgence permanent

L’état d’urgence permanent, voilà ce qu’est en train de nous vendre, à la suite du covid et du terrorisme, la COP 26 et ses orateurs pour instaurer un contrôle perpétuel mondial des populations.

Le dernier en date à avoir parler en ce sens est le démocrate Al Gore, un des khmers verts américains du réchauffement climatique. A Glasgow, devant un parterre de jet-setteurs ne se déplaçant qu’en jet privé, -la réduction des gaz ne devant peser que sur la masse des travailleurs et épargner un quelconque désagrément aux puissants qui nous gouvernent-, l’ancien vice-président d’Obama, Al Gore, grand promoteur de dogmes environnementaux, a annoncé le jeudi 4 novembre, lors d’un entretien avec la chaîne américaine MSNBC, la création d’une nouvelle technologie, Climat Trace, qui surveillera les émissions de gaz dans le monde entier. Ce nouveau « grand frère vert » est capable de retracer les « identités » des « responsables » des émissions de gaz à effet de serre.

La COP 26, est-ce un hasard ?, a débuté à Halloween, le 31 octobre à Glasgow, en Écosse. Des milliers de politiciens, de bureaucrates, de journalistes et d’activistes ont depuis essayé d’effrayer le monde entier pour qu’il prenne des mesures immédiates et drastiques pour contrôler le « changement climatique causé par l’homme ».

L’objectif de cet establishment international qui se retrouve, entre-soi, dans des raouts à Davos ou à Glasgow si ce n’est Rome, Paris ou New York, de contrôler la population, de la surveiller, n’est même plus caché. Ainsi lors de son annonce, Al Gore n’a pas hésité à appeler cette nouvelle technologie, « le grand frère vert ». La référence au Big Brother d’Orwell est patente, et ne laisse rien présager de bon pour la pauvre humanité.

« Nous obtenons les données grâce à 300 satellites existants, à plus de 11 000 capteurs sur terre, dans les airs et en mer, à de multiples flux de données sur Internet et en utilisant l’intelligence artificielle… » a souligné Al Gore en insistant :

« L’année prochaine, nous les aurons jusqu’au niveau de chaque centrale électrique, raffinerie, de chaque gros navire, de chaque avion, de chaque décharge et nous aurons l’identité des personnes qui sont responsables de chacun de ces flux d’émissions de gaz à effet de serre et si les investisseurs ou les gouvernements, ou les militants de la société civile veulent les tenir pour responsables, ils auront les informations sur lesquelles fonder leur action et ainsi les obliger à rendre des comptes. »

Ainsi, ce Big Green Brother vérifiera, identifiera et enverra les preuves des condamnations contre l’environnementalisme. « Allumez-vous un feu dans les montagnes avec du bois trouvé dans les bois ? Votre vache pollue-t-elle avec l’ammoniac de ses propres excréments ou avec le méthane qu’elle émet dans l’air ? En prison ! » ironise un journaliste italien du quotidien LNBQ avant d’ajouter :

« Ce choix de menaces, de mots et de priorités ne reconnaît pas la simple réalité : les pénuries énergétiques et alimentaires s’aggravent pour 99% des hommes et des femmes de la planète. La plupart des « solutions » à Glasgow ne sont pas seulement l’antithèse du respect de la dignité humaine, mais aussi le contraire de tout bon sens écologique.

« L’Agence internationale de l’énergie elle-même a dû reconnaître que toute ‘’transition‘’ des combustibles fossiles vers une énergie ‘’propre, durable et renouvelable‘’ nécessitera d’énormes quantités de métaux, de minéraux et d’autres matériaux. Les voitures électriques ont besoin de trois fois plus de cuivre que les véhicules à essence, les éoliennes, par exemple, ont besoin de neuf fois plus de matériaux par mégawatt par rapport aux centrales de cogénération au gaz. Cependant, les fanatiques du climat qui se rassemblent à Glasgow pour bloquer des routes, prendre d’assaut des bâtiments publics ou manifester dans toutes les villes du monde pour exiger des actions immédiates et draconiennes, planifier le sabotage des oléoducs n’ont aucune intention d’être des mineurs, des ouvriers dans des aciéries ou des chauffeurs de camions chargés de cuivre-cobalt-nickel (indispensable pour l’énergie ‘’verte’’). »

Et l’article de conclure avec une charge contre ces fous du ‘climat’, qui ont la haine de l’humanité en partage : 

« La conférence des Nations Unies sur le climat ignore la privation d’énergie, le chômage, le faible niveau de vie, les maladies endémiques, l’agriculture primitive et la mort prématurée que cette tyrannie éco-impérialiste basée sur le climat perpétuera. Les bureaucrates et les extrémistes du climat se soucient peu des morts en dehors de leur cercle éclairé, en revanche, dans leur décalogue il y a le commandement malthusien. Ce n’est pas un hasard si les 1% qui veulent nous enchaîner à leurs caprices environnementaux, ne se considèrent pas liés par les règles de comportement qu’ils veulent nous imposer. 

« De ce point de vue, le rôle de Greta Thunberg n’est compris qu’en considérant ses revenus disproportionnés accumulés en quelques années : plus les protestations absurdes sont criées dans les rues contre les gouvernements, plus grandes sont les chances qu’ils décident de mesures et de contrôles draconiens qui affectent des centaines de millions d’habitants de la planète. Tout cela, sans nuire aux intérêts milliardaires des nouveaux ‘’maîtres du monde‘’. »

Qui du passe sanitaire au passe climatique ne feront qu’un pas. Green pass toujours !

Francesca de Villasmundo 

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