Le phantasme devient cauchemar pour les riverains de l’hôpital qui s’oppose à cette ouverture : « Non à la salle de shoot en milieu résidentiel ». Les habitants du quartier craignent en effet que les toxicomanes ne fréquentent encore plus le quartier et que cela ne soit un encouragement pour les dealers. Les bambins du quartiers auront droit dorénavant à un défilé de drogués sous leurs fenêtres. Comme spectacle il y a mieux
Cette possibilité de se droguer sous l’œil complaisant de l’État, sous sa protection rapprochée, sera aussi un encouragement pour la dépénalisation du Cannabis, nouveau cheval de bataille des lobbies gauchisants et libertaires.
Francesca de Villasmundo
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