Le Dr Anne-Marie Yim a autorisé Médias Presse Info à publier l’intégralité du texte de l’intervention qu’elle avait faite au Parlement du Grand-Duché de Luxembourg le 12 janvier 2022 et qui conserve un intérêt tout particulier à l’heure où les institutions européennes veulent organiser à la rentrée la « vaccination » anti-Covid à grande échelle des enfants dès l’âge de six mois. Ce document mérite la plus grande attention et la diffusion la plus large.
STOP AUX VACCINS DE TYPE THERAPIE GENIQUE (COVID-19) A NOS ENFANTS
Pétition 1916
Initiateur de la pétition : David Georgiu
Luxembourg le 12 janvier 2022
Intervenants : Pr Christian Perronne, Dr Anne-Marie Yim, Dr Hervé Seligmann, Dr Benoît Ochs, David Georgiu.
Texte rédigé par Anne-Marie YIM.
Mesdames et Messieurs les Députés,
A l’heure où nous débattons en ce jour de la crise sanitaire liée à la pandémie mondiale de covid, l’Agence Européenne de Médicament (EMA) a autorisé depuis le 25 novembre 2021 l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5-11 ans, emboîtant le pas à la Food And Drug Administration (FDA) qui a donné son aval le 29 octobre 2021, puisque rappelons le, le 23 août 2021, la même agence de santé a approuvé la phase 3 de l’essai clinique aux USA sur la base des résultats de l’étude clinique menée par Pfizer[1].
Au Luxembourg, le Ministère d’état, le Ministère de la santé ainsi que le Haut- commissariat à la protection Nationale (HCPN) a autorisé la vaccination des enfants de 5-11 ans avec le vaccin Cominarty de Pfizer/BioNTech dans 3 centres de vaccination : Victor-Hugo, Esch-Belval et Ettelbrück, s’ils sont accompagnés par un représentant légal, l’enfant devant disposer d’un numéro de sécurité sociale. La vaccination pouvant-être réalisée par les pédiatres ou médecins participant au programme de vaccination.
Les enfants de 5-11 ans recevront 10 ug (2 doses séparées de 28 jours), alors que les enfants de 12-18 ans reçoivent ; quant à eux une posologie de 30ug. Cette vaccination a été ouverte sur les études de Pfizer approuvée par la FDA aux USA. La Commission nationale d’éthique[2] (CNE) au Luxembourg a rendu un avis positif le 8 décembre 2021 sur la vaccination des enfants de 5-11 ans et la mise en place d’un pass sanitaire, comparable à celui des adultes, qui s’il est transformé en pass vaccinal est un point de non retour vers l’obligation vaccinale généralisée. Or, le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE)[3] en France dans son avis du 16 décembre 2021 recommande que la vaccination des enfants soit une proposition et non une obligation, elle ne doit pas être incluse dans un pass sanitaire et doit s’accompagner d’ un choix éclairé des parents, sans contrainte avec un suivi pharmaco épidémiologique à long terme.
Il est à noter que : « Le gouvernement communiquera les modalités lorsque les résultats de l’étude seront disponibles ».
Les études cliniques analysées par la FDA montre une augmentation de 42 % de la séroprévalence de mai à juin 2021 chez les 5-11 ans.
Dans son rapport d’évaluation non clinique au gouvernement Australien, Département de la santé/Administration des biens thérapeutiques, Pfizer écrit que le vaccin BNT162b2 à ARNm connu sous la marque COMINARTY n’est pas indiqué pour une utilisation pédiatrique et qu’aucune étude chez des jeunes animaux n’a été réalisée.
En date du 25 novembre 2021,selon le Ministère de la santé : le taux de vaccination des 18-19 ans est de 71,6 % et celui des 12-17 ans de 68,7%.
Quel bilan pouvons nous tirer de cette politique sanitaire liée à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020 ?
Le rapport de pharmacovigilance[4] établi par la division de la pharmacie et des médicaments de la direction de la santé en collaboration avec le centre régional de pharmacovigilance de Nancy sur le suivi des effets indésirables des vaccins en date du 01.11.2021 montre que 841 810 doses de vaccins ont été administrées correspondant à 442 517 personnes ayant reçu au moins une dose se répartissant comme suit : 615 933 injections avec Cominarty (Pfizer/BioNTech), 72 901 injections avec Spikevax (Moderna), 110 877 injections avec Vaxzeria (Astrazenzca) et 42 099 injections avec Janssen (Johnson).
1940 rapports d’effets indésirables ont été rapportés dans la base de données Eudravigileance[5] pour le Luxembourg dont 1510 cas non graves (77,84%) , 286 cas graves (22,16%) sur lesquels on compte 115 hospitalisations 18 cas où le pronostic vital est engagé et 11 décès au vaccin.
Le rapport a conclu que cela représentait 0,23 % d’effets indésirables et donc que la majorité des personnes vaccinées ne rapporte aucun effet indésirable. Les effets secondaires sont attendus et non graves tels des syndrômes pseudo-grippaux, des troubles digestifs transitoires, des malaises et des réactions au site d’injection. Parmi les tableaux cliniques marquants, le rapport cite une polysérite lié à une fuite capillaire (chez un immunodéprimé), une embolie pulmonaire bilatérale, une mort in utéro ainsi qu’ une malformation conduisant à une interruption médicale de grossesse (IMG) chez 2 femmes enceintes vaccinées.
2041 femmes enceintes ont reçu au moins une dose au cours de leur grossesse, or les données cliniques[6] sont insuffisantes pour l’évaluation des risques associés au vaccin.
Le réseau de surveillance sentinelle dont fait partie le LNS[7] (Laboratoire National de Santé) dans son rapport hebdomadaire (semaine 50:13/12-19/12 2021) ont séquencé 1188 échantillons (43,6-%) montre que le variant delta reste dominant au Luxembourg ainsi que l’émergence du variant omicron (50 cas) ; Le virus de la grippe pour la saison 2021-2022 étant apparu durant la semaine 40.
Le Luxembourg a introduit le « 3G » obligatoire en entreprise et dans le secteur public : mesure qui entrera en vigueur dès le 15 janvier 2022.
En France, la Haute Autorité se Santé (HAS) propose le 30 novembre 2021 de vacciner tous les enfants fragiles qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination.
Faut-il le rappeler les enfants ne sont en général pas affectés par la maladie de la COVID-19 dont ils se remettent parfaitement, et au Luxembourg aucun enfant n’est décédé et aucun n’a du être admis en soins intensifs, bien qu’il a été observé chez une faible partie d’entre-eux : un syndrome inflammatoire multi systémique pédiatrique (PIMS ou MISC). Par ailleurs, tout épidémiologiste qui se respecte sait qu’il ne faut pas vacciner pendant une épidémie.
En ouvrant la vaccination des enfants et en créant une discrimination entre vaccinés et non vaccinés le gouvernement viole des droits humains inaliénables, créant une fracture dans la société en dressant les citoyens les uns contre les autres.
Quelle est la réalité scientifique et juridique de cette crise sanitaire et politique ?
Une étude statistique liée à la mortalité au Grand-Duché de Luxembourg depuis 1950 , menée par Amar Goudjil démographe démontre que si la population a plus que doublé en 70 ans passant de 294 550 à 628 928 en date du 1er janvier 2021, à partir des données publiées par le site du STATEC[8] il n’y a pas eu, en revanche de surmortalité en 2020.
Ainsi le taux brut de mortalité, qui représente en pourcentage le nombre de décès survenu au cours de l’année au sein de la population totale, est en constante diminution depuis 1950. On peut noter qu’à partir de 2010, cette valeur (0,74) se stabilise sur l’étendue d’une fourchette de 0,7-0,74 . Pour l’année 2019, elle est de 0,69 et pour l’année 2021 elle est de 0,73.
Par ailleurs , si nous avions été en situation de pandémie ou d’épidémie grave, nous aurions observé un taux de croissance des décès de l’ordre de 15 à 20 %.
François Peltier, Chef d’unité population et logement au STATEC parle d’une « mortalité modérée » pour l’année 2020 au Luxembourg.
Dr Laurent Toubiana Directeur de l’IRSAN[9] (Institut de Recherche pour la valorisation des données) montre en date du 31 décembre 2021 que l’incidence hebdomadaire, c’est-à-dire en épidémiologie : le nombre de nouveaux cas d’une maladie observée sur une période donnée et ramenée/comparée à la taille d’une population cible permettant d’évaluer la fréquence et la vitesse d’apparition de nouveaux cas atteints d’une pathologie, est de 646,22 cas positifs et 0,8 décès pour 100 000 habitants et de 7,03 en avril 2020 lors de la première vague. Pour comparaison cette incidence hebdomadaire est de 600 malades pour 100 000 habitants en France. Cette incidence n’est pas significative en termes épidémiologiques, car il ne s’agit pas de malades mais de cas positifs.
Ceci signifie que la dangerosité de l’épidémie Covid aurait pu être évitée en mettant en place un protocole prophylactique et thérapeutique adéquat, et notamment de traitement ambulatoire précoce qui évite les hospitalisations due à des formes sévères de la maladie. en lieu d’une stratégie vaccinale obligatoire du « tous vaccinés, tous guéris ou tous décédés ». Assurément, on ne peut que déplorer que les agences de santé, les gouvernement et les médias d’un commun accord dans une symphonie bien orchestrée ait déployée sa stratégie thérapeutique vaccinale expérimentale sur une population saine, basée sur une thérapie génique à ARNm dont l’efficacité et la sécurité ont été évalué de façon biaisée comme démontrée dans le scandale sanitaire dit du « Pfizergate[10] » parue dans le British Medical Journal (BMJ), le 2 novembre 2021.
Véritablement, cette étude remet en cause l’intégrité des données des essais cliniques réalisées par Ventavia, un sous-traitant des laboratoires Pfizer qui aurait falsifié des données et a tardé à assurer les effets secondaires, sans respect du protocole en double aveugle puisque l’identité des vaccinés ayant reçu le principe et le placebo était connu du personnel soignant invalidant de facto les résultats de l’essai.
Or des aveux des autorités de santé elle-même : la vaccination n’empêche ni l’infection, ni la transmission, et au mieux protégerait seulement des formes graves, alors que les AMMs conditionnelles et les EAUs déposées par Pfizer auprès de la FDA revendiquent une protection des vaccins contre seulement les formes légères ou modérées.
Soulignons le fait essentiel que le vaccin n’empêchant pas l’infection constitue un critère d’échec qui aurait automatiquement du invalider la phase clinique 1. Puisqu’il est admis qu’aucun vaccin génique anti-coronavirus n’avait jamais été approuvé dans les études pré-cliniques animales ni humaines au préalable. En effet, COMINARTY n’a pas été évalué pour son potentiel carcinogénique, mutagénique, génotoxique et son impact sur la fertilité masculine.
En regard, ces derniers sont responsables d’un emballement du système immunitaire par sécrétion d’anticorps facilitants (ADE : Antibody Dependant Enhancement) incapables de neutraliser les virus par phagocytose des macrophages et au contraire facilitant leur entrée dans les cellules et par conséquent exacerbant les infections virales pulmonaires (ERD) favorisant par ailleurs également les maladies auto-immunes[11]. Par conséquent, il est impossible d’atteindre une immunité collective[12] par une politique basée sur la vaccination à 100% de la population, à cause des phénomènes de mutation et d’échappée immunitaire, seule l’immunité naturelle cellulaire étant capable d’éradiquer l’épidémie de coronavirus, comme l’a rappelé Dr Geert Vand De Boosche dans sa lettre ouverte[13] à l’OMS en date du 6 mars 2021.
Des pathologistes allemands [14] ont réalisé l’autopsie d’un patient âgé de 86 ans, décédé d’insuffisance respiratoire et rénale suite à sa première dose, 4 semaines avant sa mort et ont montré une bio-distribution de la protéine spike/spicule (S) synthétisée par les ribosomes dans la majorité des organes analysés du corps (7/9), y compris les neurones et les cellules germinales (spermatozoïdes et ovocytes), soulevant des questions de stérilité d’une génération à l’autre. Ceci prouve que la protéine spike ne reste pas localisée au lieu d’injection, c’est-à-dire dans le muscle deltoïde mais est capable de passer dans le sang.
Ce d’autant plus que dans les formulations Pfizer pour les enfants de 5-11 ans, un ingrédient de la formulation le PBS a été remplacé par du TRIS, sans qu’aucune étude n’ait été réalisée alors que les modifications au niveau des charges impacte directement la taille des nanoparticules lipidiques (NPL) favorisant leur passage dans le sang. Rappelons que la technologie de l’ARNm inventée par Dr Robert Malone fait produire à l’organisme une information génétique exogène (endéans, la protéine spike) et est considérée comme un médicament de thérapie innovante ou (ATMP/Advanced Therapy Medicinal Product). Le règlement européen 2020/1043 vient modifier la réglementation OGM et permet à tout essai clinique de médicaments contenant des OGMs ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 d’échapper aux évaluations sur la santé et l’environnement[15], remettant clairement en cause le principe de précaution.
L’épitope antigénique ciblé par la thérapie génique spike posent donc des problèmes évidents à la fois sur le plan immunologique et inflammatoire, mais également sur le plan génétique, et leur évaluation accélérée (9 mois au lieu de 5 à 15 ans[16]) avec des phases simultanées et non séquentielles 1,2,3 ne permet pas un suivi des effets secondaires à moyen et long termes suffisants d’où un manque de recul pouvant remettre en question le la balance bénéfice/risque. Les effets à court terme ayant été évalué simplement sur 2 mois alors que la jurisprudence considère que la durée à court terme d’un vaccin a été fixée à 6 mois.
Les travaux du Docteur Hervé Seligmann montre qu’il existe une corrélation entre le pourcentage des individus vaccinés dans les pays européens et la mortalité totale dans 6 classes d’âges les semaines suivant la vaccination de janvier 2021 à mai 2021. La mortalité pour les moins de 15 ans non vaccinés augmente avec le temps qui s’écoule après la vaccination.
Christine Cotton[17], biostatisticienne indépendante a réalisé une étude statistique descriptive de la base de données VAERS[18] aux USA et montre des effets secondaires et des décès liés à la vaccination. 1 000 227 effets indésirables, et 21 002 décès suite aux vaccinations ont été rapportées en date du 24 décembre 2021, un fait sans précédent historique puisque par comparaison, en 31 ans d’existence du VAERS seulement 9 248 décès dus aux vaccins ont été répertoriés[19], alors que seulement 1%[20] des effets indésirables sont rapportés[21]. Parmi les nombreux effets secondaires indésirables, l’on peut citer 8 673 anaphylaxies, 12 532 paralysies de Bell, 3 435 avortements, 10 640 attaques cardiaques, 22 117 myocardites/péricardites, 35 650 handicaps permanents, 5011 thrombocytopénies ; 23 892 cas engageant un prognostique vital, 36 492 réactions d’allergie sévères ainsi que 11 462 zonas. Elle a par ailleurs mis en évidence 11 507 réinfections covid en population réelle, ainsi qu’un délai moyen de 21 jours pour la survenue des effets indésirables graves.
Dr Benoît Ochs a réalisé un suivi des patients vaccinés par analyse du taux de D-dimères et de la CRP (C réactive protéine), qui sont des biomarqueurs d’un état thrombotique inflammatoire pouvant être 10x ou 20x plus élevé que la normale et entraînant des micro et macro thromboses au niveau du système artériel pouvant aboutir à des embolies pulmonaires, des arrêts cardiaques, des AVC ou encore des phlébites qui sont plutôt alarmants.
L’étude qui a été menée le 10 mai 2021 sur une cohorte de 2 260 âgés de 12-15 ans en phase 2/3 en double aveugle avec un contrôle placebo a montré la survenue de myocardites et de péricardites chez les adolescents, notamment après la deuxième dose : 60 cas de myocardites recensés dans l’essai clinique et 573 myocardites sur 7 millions de la population vaccinée avec un indice de confiance de 95%.
Sur le plan juridique, la vaccination obligatoire contrevient aux textes de loi ; tels :
1-le serment d’Hippocrate
2-le Code déontologique médical Art 36, Art R 41, 7, 36 du code la santé publique
3-Le code de Nuremberg de 1947
4-La déclaration de Genève de 1948
5-La déclaration d’Helsinki de 1996, Art.25
6-La Convention d’Oviedo de 1997, Art 5
7-La loi Kouchner du 4 mars 2002 ; Art 1111-4
8- Arrêt Salveti de 2002
9-Code Civil Français Art.16.1
10-la Résolution 2361 du Conseil de l’Europe et l’Art 58 de la Constitution Française.
Enfin pour conclure, quant à l’incitation médicale en milieu scolaire, les syndicats enseignants, recherche et libertés ainsi que l’association de défense des enfants : Enfance et Libertés rappellent à juste titre que :
« Tout acte médical est effectué en concertation entre le patient et son médecin, seul habilité à prendre les décisions les plus adaptées à sa santé. L’école , administration fondée sur les principes d’égalité, de laïcité et de neutralité et qui n’est pas un lieu de soin, n’a pas à intervenir dans ce dialogue privé.
Il en va donc ainsi pour la vaccination, qui reste comme tout acte médical, une décision intime, protégée par le secret professionnel et prise avec le médecin traitant en fonction de la santé du patient.
Ainsi, aucune parole d’incitation à un geste médical n’a sa place dans l’enceinte d’une école. L’école est et doit demeurer un lieu sûr abrité de toute influence partisane.
En conclusion, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable aux jeunes, c’est pourquoi plusieurs pays scandinaves[22] ainsi que le Japon ont renoncé à injecter les jeunes avec les inoculations à ARNm dont les effets à long termes demeurent inconnus.
La CCNE (Comité Consultatif National d’Ethique) en France saisie par le gouvernement avait conclu : la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ».
[1] https://clinicaltrial.gov/ct2/show/NCT04368728
[2] Réflexion sur la situation vaccinale des mineurs et une possible obligation vaccinale des majeurs dans le contexte de la pandémie de Covid-19 dans le contexte de la pandémie de Covid-19, prise de position de l
[3] Proposer la vaccination aux enfants de 5-11 ans est-il éthiquement acceptable ? Réponse du CCNE à la saisine du ministère des solidarités, Comité Consultatif National d’Ethique pour les sciences de la vie et de la santé, Parise 16 décembre 2021.
[4] Rapport de pharmacovigilance : suivi des effets indésirables des vaccins -données au 01.11.2021 Ministère de la Santé, le gouvernement du Grand-Duché du Luxembourg
[5] https://www.ema.europa.eu
[6] www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/cominarty-epar-public-assessment-report_en.pdf
[7] Www.lns.lu
[8] www.statistiques.public.lu
[9] www.covid.irsan.eu
[10] Covid-19 : Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial,P.D. Thacker, BMJ, 2 November 2021.
[11] Rapport expertise sur les vaccins Covid-19, A. Henrion-Caude, FDDL -Fondation pour la défense des Droits et Libertés du peuple), 11 novembre 2021.
[12] The Great Barrington Declaration, signed on October 4th by Dr M . Kulldorf, Dr S. Gupta, et Dr J. Bhattacharya.
[13] G. Vanden Bossche, To all authorities, scientists and experts around the world, to whom this concerns ; the entire world, 6 mars 2021-www.geertvandenbossche.org
[14] T. Hansen et al, First case of post mortem study in a patient vaccinated against SARS-COv-2, Intl. J. of Infectious Diseases, volume 107, June 2021, 172-175.
[15] C. Vélot, Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM.
[16] Long term follow-up after administration of human gene therapy products, guidance for Industry, Departement of Health and Human services, FDA-CEnter for Biologics evaluation and research, January 2020.
[17] C. Cotton, A.M. Yim , D. Evans, CDC-VAERS statistical analysis using SAS softwares shows severe adverse reactions or deaths after covid-19 vaccination in real population, preprint.
[18] www.vaers.hhs.gov
[19] https://openvaers.com
[20] R. Lazarus, M. Klompas, Automated vaccine adverse event detection and reporting from electronical medical records, CDC Public Health Informatics Network (PHIN) Conference, August 27, 2008.
[21] V. Zelenko, The death report, 10 September 2021,
[22] Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident, Tribune du 12 décembre 2021 signée par Dr Laurent Toubiana.
Le Dr Anne-Marie Yim (deuxième à gauche) entourée de différents scientifiques, parmi lesquels la généticienne Alexandra Henrion Caude et le Professeur Christian Perronne, dans les couloirs du Parlement luxembourgeois avant leur audition.
Qui est le Dr Anne-Marie Yim ?
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