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D’où viennent la majorité des problèmes de notre société ?

Perte totale de repères, crise économique, immoralité institutionnalisée, islam omnipotent, crimes journaliers… vivre en France aujourd’hui n’est pas simple dans une société qui souffre de mal en pis tous les jours.

Certains se demandent à juste titre quels noms pourrions-nous mettre sur ces maux profonds qui nous rongent tous personnellement, de l’individu ordinaire jusqu’aux institutions de notre pays, de ce système dont personne ne sait comment se débarrasser mais dont chacun supporte l’esclavage de masse.

Ce « système » tel que nous le voyons plonge ses racines plusieurs siècles en arrière. Il n’est que l’aboutissement du travail maçonnique travaillé en amont : le libéralisme.

Ce mot répond à certaines caractéristiques qui décrivent incroyablement bien « le système », et qui sont donc les raisons de ce mal qui nous atteint tous.

1)   Première racine mortifère : Le subjectivisme. C’est le phénomène des temps modernes où la raison personnelle de chacun construit Sa vérité et refuse de voir la réalité en face telle qu’elle est. L’idée est simple : « Le sujet devient le centre de toutes choses. Les choses ne sont plus ce qu’elles sont, mais ce que je pense ». Ainsi chacun pense ce que bon lui semble mais surtout ne doit pas l’imposer aux autres… parce qu’il y aurait apparemment dans chaque idéologie, théorie, ou religion des parts de vérité et de bien !

2)   L’indépendance des volontés propres par rapport à la droite raison. C’est ainsi qu’un individu peut faire le mal, mais qu’importe… si cela est bon pour lui ! Comment ne pas nous rappeler ces propos du pape François qui illustre tout à fait ce libéralisme : « Si une personne est gay et cherche le Seigneur, qui suis-je pour la juger ? »

3)   La loi humaine s’érige en règle suprême de la moralité. En effet le système croit pouvoir tout régenter y compris ce qui le dépasse complètement. La morale ne se fixe plus à partir de la loi naturelle et divine mais sur ce que les lobbys judéo-maçonniques nous imposent. L’avortement (six millions de morts depuis la loi Veil, des vrais ce coup-ci),  la contraception, la fin de vie, l’homosexualité institutionnalisée, le gender « la nouvelle bible pour enfants », etc.

4)   Règne du sentimentalisme sur la raison. Se rangent ici tous les grands slogans actuels de paix, de tolérance, de pluralisme, de mixité, qui justifient tout et dirigent nombre de nos compatriotes. C’est le « peace and love » hippie des années 1960 et la mentalité « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ».

5)   Le renversement radical des valeurs humaines avec la primauté de l’animalité. C’est notamment la sacralisation de la sexualité débridée intronisée par une pornographie ambiante et enracinée par la bien-pensance. C’est dans cet esprit-là que les deux fins du mariage ont été inversées, la fin première devenant le plaisir charnel avec l’épanouissement des deux conjoints, avec éventuellement la procréation et l’éducation des enfants en deuxième but, presque facultatif aujourd’hui… C’est ainsi que l’on a mis la famille « cellule de base de la société », à terre.

6)   Le mépris de la tradition sous prétexte de progrès où tout doit être réinventé en permanence, et ce surtout en matière de science. Les expériences sur l’embryon et la conception ne sont pas en reste, devenant les vulgaires objets de scientifiques totalitaires.

7)   L’individu roi sur toute société, autorité, et hiérarchie naturelle : indépendance des enfants vis-à-vis de leurs parents, de la femme à l’égard de son mari (libération de la femme), de l’ouvrier vis-à-vis de son patron. Chaque individu devient par principe sujets absolu de tous les droits avec quelques « devoirs » ici ou là pour sauver l’apparence. C’est l’anarchie qui engendre féminisme, lutte des classes, syndicalisme marxiste, révolutions, et enfin le chaos pour la société.

Mgr Gaume faisait parler la Révolution : « Je suis la haine de tout ordre que l’homme n’a pas établi et dans lequel il n’est pas roi et Dieu tout ensemble. Je suis la proclamation des droits de l’homme sans souci des droits de Dieu. Je suis la fondation de l’état religieux et social sur la volonté de l’homme au lieu de la volonté de Dieu. Je suis Dieu détrôné et l’homme à sa place. Voilà pourquoi je m’appelle Révolution, c’est-à-dire renversement… »

Voilà ce qu’est le libéralisme et ce qu’il a appliqué à notre société sous l’influence franc-maçonne. Nous sommes dans un système voulu, contre-nature, et surtout totalitaire, car l’anarchie n’est pas autre chose. Système satanique savamment pensé enfin d’empêcher à tous prix le règne social de Dieu lui-même, sans qui paix et bonheur ne sont qu’illusoires puisqu’Il en est le principe.

Source : Ils l’ont découronné de Mgr Marcel Lefebvre

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