Tout en restreignant de manière tyrannique, au nom d’un hygiénisme absolutiste, et sous l’impulsion des injonctions mondialistes, les libertés fondamentales des citoyens néo-zélandais, et particulièrement de ceux qui s’opposent aux injections expérimentales anti-covid, le gouvernement du Premier ministre Jacinda Arden donne toute liberté aux folies des minorités lgbtqi+.
Une loi est sur le point d’être votée qui permettra de n’indiquer aucun sexe dans les actes de naissance ou de le changer rétroactivement une fois l’âge de la majorité atteint ou même plus tôt.
Le Comité spécial sur la gouvernance et l’administration du Parlement néo-zélandais a exprimé son soutien à cette loi. Dans son rapport, on peut lire :
« Nous pensons que les gens devraient être autorisés à changer plus d’une fois leur sexe enregistré, cela refléterait le fait que le genre peut être fluide pour certaines personnes. »
Pour les 16-17 ans, s’ils ne reçoivent pas le consentement du tuteur pour modifier l’acte de naissance, il est suggéré de trouver des alternatives.
Que se passe-t-il si une personne née homme choisi, par exemple, de modifier l’acte de naissance pour qu’il apparaisse comme « femme née » et y réfléchit ensuite ? La Commission s’y oppose car elle favoriserait le sexe biologique :
« Cela pourrait être perçu comme un choix idéal d’être cisgenre et de revenir au sexe de naissance, mais ce n’est pas notre intention ».
Un trait commun des idéologies, y compris la théorie du genre, est qu’elles ne reconnaissent pas la réalité et veulent l’effacer. Cette loi néo-zélandaise exprime cette intention de manière pratique.
Dictature sanitaire et tyrannie lgbtqi+, deux faces de la révolution arc-en-ciel, font bon ménage pour détruire le réel et créer l’homme nouveau du meilleur des mondes orwellien !
Francesca de Villasmundo
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