Nous vous parlions dans un article précédent de la confusion des temps qui amène la militante féministe Dora Moutot à être accusée de transphobie parce qu’elle répète qu’un transgenre n’est pas une femme. Le sujet nous amène à traiter un nouveau néologisme transgenre : le mot « terf ».
TERF est un acronyme inventé par le lobby transgenre qui signifie « Trans exclusionnary radical feminist ». Le lobby transgenre désigne donc comme son ennemi la femme qui serait une féministe radicale excluant les trans (entendez par-là, tout femme qui dit qu’un transgenre n’est pas une femme).
Et certains transgenres se montrent de plus en plus menaçants, sur les réseaux sociaux comme sur les murs de nos villes, appelant à la violence et même au meurtre contre les femmes traitées de « terf ». Des féministes pur jus sont d’ailleurs amalgamées au fascisme parce qu’elles disent qu’un transgenre n’est pas une femme !
Marguerite Stern, une ex-Femen, qui comptait parmi celles qui ont attaqué la manifestation de Civitas contre la loi Taubira qui a légalisé le mariage entre personnes de même sexe, se trouve aujourd’hui accusée d’être transphobe et qualifiée de « terf »… Elle signale d’ailleurs qu’il existe un jeu vidéo pour transgenres dont le but est de tuer des « terfs ».
On notera que le député macroniste Raphaël Gérard, notoirement homosexuel, utilise l’expression « terf » et l’adresse à celles qui désapprouvent que des transgenres nés hommes participent à des compétitions sportives féminines et raflent les trophées destinés à des femmes.
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