Les mises en garde arrivent de Lybie comme de Turquie. L’Etat Islamique place des djihadistes sur les embarcations pleines à craquer de candidats réfugiés qui arrivent chaque jour en Europe.
L’infiltration est un succès, selon différentes sources.
L’Etat Islamique est d’ailleurs fier de ce dispositif qui profite du laxisme de l’Europe en matière d’accueil des immigrés.
Les combattants envoyés en Europe ont l’intention de s’acquitter de missions de terrorisme en Europe de l’Ouest.
Des villes portuaires turques comme Izmir et Mersin voient passer des milliers de candidats réfugiés qui s’aventurent par la mer, visant principalement d’accoster en Italie. Ensuite, ils se répandent à travers toute l’Europe. Les passeurs n’ont cure de savoir pour quelle raison les personnes veulent rejoindre l’Europe via les bateaux-poubelles. Du moment qu’ils payent le voyage…
D’autres passeurs avouent qu’ils travaillent avec des réseaux de l’Etat Islamique. Des djihadistes arrivent en Turquie avec des faux passeports syriens, puis sont hébergés dans un hôtel, en attendant que la liste des passagers pour un bateau de réfugiés se remplisse. Ils quittent la Turquie comme tous les réfugiés: sur de petits bateaux.
Une fois arrivés en Italie, ces djihadistes mêlés aux candidats réfugiés peuvent voyager via les routes, beaucoup moins contrôlées que les aéroports.
Richard Burr et Lindsey Graham, deux Sénateurs américains membres de l’US Senate Select Committee on Intelligence, commission dédiée aux travaux des services de renseignement des Etats-Unis, ont confirmé que ce scénario est en cours.
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