La déferlante migratoire ferait la joie des prédateurs sexuels. C’est Jean-Michel Gérimont, directeur du centre d’accueil pour migrants d’Hotton, dans la province du Luxembourg en Belgique, qui tire la sonnette d’alarme.
Dans les journaux du groupe Sudinfo, il déclare :
« Nous sommes confrontés à ce que j’appelle des « chasseurs de sexe ». Il s’agit bien souvent d’âme solitaire féminine ou masculine venant chercher auprès des demandeurs d’asile des choses pas très catholiques… (…) Nous sommes très vigilants par rapport à ce profil de bénévole.«
Au centre d’accueil d’Yvoir, dans la province de Namur, la directrice Delphine Guibert ajoute :
« Nous avons également pas mal de gens qui tournent autour du centre à la recherche de ce genre d’histoire.«
« Nous avons des hommes qui rôdent près du centre. Ces derniers sont à la recherche de relations avec des femmes. (…) En cas de récidive, nous prévenons la police.«
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