Etats-Unis – Un groupe d’extrémistes LGBT a été expulsé de force du Capitole de l’État du Texas mardi après avoir perturbé les procédures législatives qui se déroulaient à l’étage de la Chambre. Ils protestaient contre un projet de loi visant à interdire les opérations de « changement de sexe » pour enfants.
La loi HB 1686 est la dernière d’un nombre croissant de propositions à travers les États-Unis qui cherchent à freiner la tendance inquiétante des enfants à « transitionner » vers le sexe opposé. À l’heure actuelle, plus de 15 États ont des lois qui interdisent d’une manière ou d’une autre ce que les libéraux appellent à tort des « soins d’affirmation de genre » pour les jeunes américains.
Si elle est adoptée et signée par le gouverneur républicain Greg Abbott, la loi HB 1686 – et son homologue au Sénat, SB14 – empêcherait les enfants d’avoir accès aux bloqueurs de la puberté et à l’hormonothérapie. Cela exigerait également que les enfants soient « sevrés » de ces types de drogues s’ils en consomment déjà. Ce projet de loi interdit également les chirurgies de « changement de sexe ».
Le projet de loi, qui a été déplacé pour être voté le vendredi 5 mai, devrait être adopté, car le GOP a des majorités dans les deux chambres. La plateforme du Parti républicain du Texas affirme s’être engagée à s’opposer à « tous les efforts visant à valider l’identité transgenre ».
Lors de la tentative d’occuper le Capitole du Texas mardi, des extrémistes LGBT ont déployé une banderole et crié des slogans dans l’enceinte parlementaire. « Que voulons-nous? Les droits trans! Quand est-ce que nous le voulons? Maintenant ! », scandaient-ils avant d’être arrêtés.
De l’autre côté, des parents pacifiques en faveur du projet de loi portaient des t-shirts rouges sur lesquels on pouvait lire « Save Texas Kids » en lettres blanches et en gras. Les élus républicains les ont remerciés et ont déclaré que leur présence « renforce notre détermination à y parvenir ».
Le président de la Chambre, Dade Phelan, a averti les perturbateurs LGBT que leurs actions étaient inadéquates. Il les a ensuite fait expulser par la police.
A l’inverse, les États aux mains du parti démocrate continuent de soutenir les mutilations d’enfants.
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je dois encore etre bete (conplotisse)je ne vois pas ou est l outrage ,,,Ne sommes nous pas en raie publique .? entre « camarades ,,citoyens , »libres ,egos ,fraternels ? »https://dictionnaire.lerobert.com/definition/emmerder
Pendant le lavage de cerveau du stage, Claude a dit qu’il allait se marrer. Il a raison, il faut qu’il répète pendant le stage: « Macron, je t’emmmerde, Macron je t’emmerde… » et éventuellement l’enregistrer sur un dictaphone et le passer en boucle. Tous ses copains devraient envahir la salle de stage et gueuler la même chose. Si le dictateur est obligé d’envoyer le GIGN, il aura l’air con. Jusqu’à quand les gendarmes vont se coucher?
Si le fait de dire que l’on em…de quelqu’un nous envoie directement à un stage de « citoyenneté », dans ce cas, Macron devrait en suivre pas mal, vu le nombre de fois qu’il a insulté les Français, allant jusqu’à dire lui-même, qu’il avait plaisir à nous em..;der. Mais là, bizarre, pas de stage de citoyenneté pour ce petit personnage de rien du tout. Je ne comprends pas. Y aurait-il deux France ? Celle qui a droit à insulter le peuple en toute impunité, et celle qui doit la boucler et ne pas réagir aux provocations des premiers ? Je le crois de plus en plus. Mais, n’étant RIEN pour le guignol qui squatte l’Elysée, ma parole n’a donc aucune valeur.