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Des extrémistes LGBT élaborent les nouvelles lignes directrices transgenres de l’OMS

Des extrémistes pro-LGBT élaborent les nouvelles lignes directrices transgenres de l'OMS

L’OMS travaille à la mise en œuvre juridique de l’agenda transgenre dans le monde entier.

En juillet de l’année dernière, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) commençait discrètement à élaborer des « lignes directrices » sur les interventions transgenres. Selon C-Fam, cette mesure avait pour but « de lutter contre la propagation rapide des interdictions et des restrictions sur les « interventions chirurgicales et les médicaments transgenres, en particulier pour les enfants », et serait orientée vers « un accès et une utilisation accrus de services de santé de qualité et respectueux par les transgenres et des personnes de genres divers » [sic]. La mission de l’OMS comprendrait « l’éducation et la formation des agents de santé » (l’endoctrinement des professionnels de la santé) ainsi que la « reconnaissance juridique de l’identité de genre autodéterminée » (la mise en œuvre des prémisses transgenres dans la loi).

Enfants en danger !

C-Fam rapportait à l’époque que les personnes impliquées dans la création de ces lignes directrices étaient, sans exception, « investies dans l’élargissement de l’accès à des protocoles médicaux « transgenres » de plusieurs milliards de dollars, y compris pour les enfants mineurs ». Quelques noms sont significatifs : Chris McLahlan, psychologue spécialisé. en « soins transgenres », Elma de Vries, co-auteur avec McLahlan des lignes directrices pro-LGBT de l’Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres (WPATH), Cianán Russell de l’ILGA-Europe, un lobby LGBT représenté à l’Union Européenne, et Ayouba El Hamri, un militant transgenre. En bref, il n’y a jamais eu de doute quant aux intentions de l’OMS : créer un cadre qui aiderait à la mise en œuvre juridique de l’agenda transgenre dans le monde entier.

Comme toujours avec l’Organisation mondiale de la santé, les choses peuvent empirer. Le 28 décembre, Unherd a rapporté que l’OMS prévoyait d’annoncer prochainement de nouvelles recommandations élaborées par des radicaux LGBT, y compris des « militants trans » du réseau Global Action for Trans Equality (GATE), et au moins un membre ayant des liens étroits avec l’industrie pharmaceutique. Sont par contre absents de ces discussions les gens critiques, les cliniciens concernés, les experts en développement de l’enfant et de l’adolescent, les spécialistes du neurodéveloppement.

Les pires propagandistes de l’idéologie transgenre veulent s’emparer des enfants

Certains « experts » choisis par l’OMS sont parmi les plus radicaux propagandistes du mouvement transgenre. « Florence » Ashley, membre du corps professoral de la faculté de droit de l’Université de l’Alberta, dont le surnom est « They/Them/That B-tch », a été la première juriste « ouvertement transféminine à la Cour suprême du Canada ». Ce militant transgenre a soutenu dans un article de 2019 pour Clinical Child Psychology and Psychiatry que « les bloqueurs de puberté devraient être utilisés comme l’option par défaut » pour les enfants au lieu de « laisser la puberté suivre son cours ». Selon ce Ashley – qui contribue à l’élaboration de lignes directrices transgenres de l’OMS et façonne des étudiants dans une grande université canadienne :

Les bloqueurs de puberté placent structurellement les futurs hormonaux transgenres et cisgenres dans une symétrie approximative. Les jeunes qui prennent des bloqueurs de puberté ont toutes les options possibles, leur corps n’étant altéré ni par la testostérone ni par les œstrogènes. Bien que beaucoup de choses restent inconnues sur les effets à long terme des bloqueurs de la puberté, les preuves empiriques limitées et l’expérience clinique nous permettent de supposer que, quels que soient les risques présentés par les bloqueurs de la puberté, ils n’excluent pas les parcours de vie futurs autant que le fait la puberté.

Vouloir placer tous les enfants sous bloqueurs de puberté

Cet individu suggère donc que tous les enfants, sans exception, soient placés sous bloqueurs de puberté. Ce qui est terrifiant, c’est que l’idée de soumettre en masse les enfants à des drogues manifestement nocives n’a pas été considérée comme disqualifiante. Les bloqueurs de puberté ont un impact sur le développement du cerveau, réduisent la densité osseuse et retardent la croissance. Ils risquent d’empêcher l’utilisateur d’atteindre son QI maximal, d’inhiber la fonction sexuelle, d’épaissir le sang, d’augmenter jusqu’à cinq fois le risque de crise cardiaque, de créer un risque plus élevé de diabète, de caillots sanguins et de cancer, et peuvent entraîner une atrophie vaginale.

Les militants transgenres pourront bientôt affirmer que les « lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé » soutiennent unanimement chaque objectif du mouvement transgenre et qu’il est de notre devoir de « suivre les experts ».

Pierre-Alain Depauw

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