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Des enfants de 7 ans soumis à la propagande LGBT Queer dans une bibliothèque municipale parisienne ?

Le FigaroVox publie une tribune du président de l’UNI concernant le fait qu’une bibliothèque municipale parisienne organise dans quelques jours un atelier réservé aux enfants de 7 à 14 ans dans le cadre de la « Queer Week ». Il s’agit donc d’une véritable et scandaleuse propagande LGBT d’un style très particulier à destination des enfants.

«Queer for Kids»: un atelier queer pour les 7-14 ans

La psychologie comportementale nous invite à nous méfier de certains biais qui modifient notre perception et altèrent nos raisonnements. «L’effet de cadrage» enferme notre réflexion dans un cadre qui peut nous être imposé par un interlocuteur ou une marque. Nous jugerons, ainsi, un prix relativement abordable si l’on nous a présenté d’abord un prix de référence beaucoup plus élevé. C’est ce qui fait le succès des ventes promotionnelles !

Malheureusement, ce type de biais comportementaux ne sont pas utilisés qu’en période de soldes, et les activistes les plus radicaux sont devenus maîtres dans ce genre de manipulation pour nous imposer leurs idéologies. Ils ont ainsi théorisé l’art de la provocation. Provoquer et choquer pour ensuite nous faire accepter comme raisonnables des idées ou des comportements que nous n’aurions jamais acceptés autrement.

La Queer Week, qui se tiendra du 15 au 23 mars, en est la parfaite illustration. Cette semaine de toutes les provocations fut créée il y a dix ans par des étudiants de Sciences Po, avec le soutien moral et financier de l’établissement, pour créer un «espace d’action et de réflexion sur les genres et les sexualités».

Leur quête de déconstruction de « la domination » n’a pas de limite.

Réflexion ? Le terme est très généreux pour évoquer cette forme de pensée «zadisée» qui agglomère tous les combats «alter» du moment (antispécisme, militantisme végan, théorie du genre, altermondialisme, féminisme radical …) dans une entreprise générale de «déconstruction». L’ennemi commun? Le mâle blanc, ainsi que la culture, les œuvres, les institutions qu’il est censé dominer pour asseoir et maintenir son pouvoir.

Ainsi, il sera proposé, samedi 16 mars dans le cadre de cette semaine, de poser les bases d’une «justice queer»intracommunautaire dans «une optique de construction collective bienveillante» autour d’un «On» queer que les organisateurs définissent comme «transpédébigouine / non-cis-hétéro et anti-autoritaire» afin de rejeter «la justice d’État» et même «les outils féministes (institutionnels ou antiautoritaires) créés pour les hétéra.ro.s». Sic! Dommage pour Marlène Schiappa: malgré son zèle féministe, elle apparaît beaucoup trop prisonnière du système pour les organisateurs.

Leur quête de déconstruction de «la domination» n’a pas de limite. Tout est domination, surtout la nature et les sciences du vivant. Ainsi, la médecine est traditionnellement accusée par ces militants de reproduire des schémas de domination genrée et de tenter d’imposer un déterminisme biologique. C’est pourquoi l’association féministe «les Flux» dont l’objectif est «la réappropriation des savoirs gynécologiques» vous invite lundi 18 mars à un «atelier d’auto-gynécologie transinclusif». Ces militant.s.e.e.s (excusez-moi, je m’y perds un peu avec l’écriture inclusive) ont pensé à tout puisqu’ils.elles.on fournissent «les miroirs, lampes de poche et les spéculums». Est-ce à cela que servent les financements de Sciences Po?

En guise d’action, les organisateurs ont sorti les armes de provocation massive. Ainsi, ils vous proposent un atelier intitulé «L’Antre fessue, ou comment jouer avec ton cul et tes potes quand tu es anti-capitaliste».

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