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Des attentats de Copenhague, de Charlie Hebdo, de l’islam et du Coran

Pour éviter tout amalgame (mais pas celui dont on nous rebat les oreilles !) : distinguons le croyant de sa doctrine. Il ne nous revient pas de juger les musulmans qui sont en majorité modérés et libéraux. Ils ne posent pas de problèmes car beaucoup d’entre eux n’ont jamais lu le Coran. Nous allons par contre nous attarder sur la doctrine contenue dans le Coran. 

Selon l’islam, le Coran est le verbe incréé de « Dieu » transmis par Allah. C’est un livre sacré, descendu du Ciel, écrit en Arabe. Par conséquent, l’Islam interdit de traduire le Coran en Français et d’en discuter car c’est la parole de « Dieu ». Le vrai musulman est littéraliste, il applique les sourates du Coran.

95% des musulmans en France sont modérés car ils ne connaissent pas le Coran. Ils ne l’ont jamais lu. Et s’ils lisent, ils lisent surtout des auteurs spirituels qui ont édulcoré l’Islam en le christianisant. C’est pourquoi il est fallacieux de prendre l’exemple des musulmans modérés pour dire que l’Islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance. 

Pourquoi un musulman peut-il toujours se revendiquer d’Allah quand il fait un acte terroriste ? Parce que c’est inscrit dans le Coran comme nous le verrons plus loin. Alors qu’un chrétien qui commettrait un acte terroriste ne pourrait jamais se revendiquer des Evangiles pour cela. 

Celui qui combat au nom d’Allah est supérieur à tous les musulmans. Il appartient à l’élite de l’Islam. Ce combat, le Djihad, est un devoir impérieux pour tous les musulmans car ceux qui n’y participent pas sont voués à l’Enfer : « Si vous ne marchez pas au combat, Allah vous châtiera d’un châtiment douloureux… » (Sourate 9, verset39).

L’Islam est une religion de conquête. Il s’est répandu par l’épée depuis son origine jusqu’à maintenant dans tous les pays d’Afrique, d’Asie, et d’Europe alors qu’il n’était pas agressé. 

Intéressons-nous au fondateur puisque, dans toute religion,les fidèles sont invités à imiter la vie du fondateur :

Mahomet est polygame, pédophile et impitoyable pour les femmes. C’est un guerrier farouche qui a propagé sa religion par l’épée. (cf http://quebec.huffingtonpost.ca/claude-simard/mahomet-prophete-islam-et-inspirateur-des-djihadistes_b_5839674.html)

Par comparaison, Jésus-Christ est un Dieu d’amour qui se fait homme pour sauver les hommes du péché. Il meurt sur la croix pour eux. Il leur enseigne la Charité :

« Un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? » Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Ecoute, Israël : Le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. » (Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 12, 28 b-34a)

Jésus dira également : « Aimez vos ennemis » (Mt 5.44)

«(…) car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. » (Mt26.52)

Voyons maintenant la doctrine :

Nous nous baserons sur LE MYTHE DE LA TOLERANCE ISLAMIQUE, dans le Coran, traduction Régis Blachère, Edition Maison-Neuve et Larose Bonchamp-Lès-Laval 2001: une édition conseillée par les musulmans dits « modérés ».

 

Un grand principe à connaître pour lire le Coran : les versets abrogeant (nâsikh) et les versets abrogés (mansûkh)

Ce principe dit que, quand deux versets se contredisent, le verset révélé en dernier abroge le verset révélé en premier.

Or, dans le Coran, les sourates ne sont pas classées dans l’ordre chronologique mais approximativement par ordre de grandeur décroissante (de la plus longue sourate à la plus courte; avec une exception pour la première sourate). Une question se pose : en cas de contradiction entre deux versets, comment savoir quel est le verset révélé en dernier ?

Réponse : « Il faut (…) se référer aux études des savants de l’islam pour connaître l’ordre chronologique ». Ceux-ci distinguent les sourates mecquoises (révélées à La Mecque entre 610 et 622) et les sourates médinoises (révélées à Médine entre 622 et 632).

Le principe du verset abrogeant (nâsikh) et du verset abrogé (mansûkh) est contenu dans le Coran lui-même :

Sourate 16 (sourate mecquoise, la 70ème révélée), verset 101 :

« Quand Nous remplaçons un verset par un autre – et Allah sait mieux ce qu’Il fait descendre – ils disent : « Tu n’es qu’un menteur. » Mais la plupart d’entre eux ne savent pas. » Sourate 2 (sourate médinoise, 87ème révélée), verset 106 :

« Si nous abrogeons un verset ou si nous le faisons passer à l’oubli, Nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne sait-tu pas qu’Allah est omnipotent ? »

Par conséquent, toujours en vertu de ce principe de l’abrogation (contenu dans le Coran, je le rappelle), les versets qui prêchent l’indulgence, la tolérance, sont abrogés par ceux qui prônent la violence et l’intolérance. Ceux qui invoquent les versets de la période mecquoise pour démontrer que « l’Islam est une religion de paix etc. » sont ignorants du principe de l’abrogation, ou pire encore, le connaissent très bien mais essayent de nous manipuler.

Anne-Marie Delcambre fournit dans son dernier livre (1), au chapitre « Sourates du Coran ? », une liste fort précieuse des sourates de La Mecque et de Médine. Sur un total de 114 sourates, 86 sont mecquoises, 28 sont médinoises. Sont médinoises les sourates suivantes (dans l’ordre de la révélation) : 2, 8, 3, 33, 60, 4, 99, 57, 47, 55, 13, 76, 65, 98, 59, 24, 22, 63, 58, 49, 66, 64, 61, 62, 48, 5, 9, 110. La sourate 2 est ainsi la première sourate de la période médinoise, et les sourates 5, 9 et 110 en sont les dernières.

Arrêtons-nous un instant sur deux sourates médinoises particulièrement importantes.

« La sourate 9, sourate médinoise, l’avant-dernière révélée, est d’une importance primordiale. Le verset 29 de cette sourate 9, révélée en 631, abroge toute disposition antérieure autorisant une attitude plus douce envers les polythéistes, les juifs, les chrétiens, les sabéens et les zoroastriens. Ce verset n’établit plus de différence entre les idolâtres et les monothéistes. »

Or, que dit cette sourate 9, verset 29 ? « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés ».

Le verset 4 de la sourate 47 (95ème révélée) est appelé « verset du jihad » : il abroge tous les versets appelant à la paix.

Et que dit le « verset du jihad » ? « Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d’Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions ».

 

Un cas d’école à connaitre absolument : Il est  utilisé par les propagandistes musulmans pour nous faire croire que l’islam est tolérant. C’est le célèbre verset 256 de la sourate 2 qui dit: «Nulle contrainte en religion.» Il est censé nous laisser croire que l’on peut entrer ou sortir de l’Islam librement. Certes, c’est un verset médinois. Il n’en n’est pas moins abrogé par un autre verset médinois ultérieur,  le non moins célèbre verset de la dhimmitude  numéro 29 de la sourate 9:

«Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés.»

Pour finir, dans le livre du Père Pagès, Interroger l’Islam, l’auteur nous précise (p.156) que « C’est en effet d’abord par son message que l’Islam se définit, et ce message est caractérisé par sa noirceur aussi vrai que sur les 6235 versets du Coran, Laurent Lagartempe recense approximativement :

Au total, ce sont quelque 3150 versets, soit une bonne moitié du Coran, qui vouent à l’exécration tous ceux qui sont autres que Musulmans. Tous ces versets expriment la funeste intention de les anéantir ou de les soumettre… »  

Ayons à cœur d’ouvrir les yeux et les intelligences de nos concitoyens, musulmans ou non, sur ce qu’est réellement l’Islam. 

Marcel KIVIN 

 

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