Les deux citoyens de Lunel, sur la photo, ne reviendront plus du front djihadiste de Syrie où ils sont allés mourir. Les habitants de Lunel sont des Lunellois mais les habitants natifs de la ville sont appelés Pescalunes, littéralement les Pêcheurs de Lune en occitan. C’est très poétique et je ne sais pas si les deux Lunellois ci-dessus peuvent aussi être appelés des Pescalunes…
Comme l’a dit l’ancien président [de l’association musulmane pour la mosquée], Ben Abdelkader, ces jeunes musulmans qui partent en Syrie, ils ne commettent pas d’attentats en France…
Ceux-là non, en effet, ils ne reviendront plus! Mais les Kouachi, les Coulibaly, les Merah, les Nemmouche et les autres? Combien d’autres? agresseurs de marchés de Noël? de policiers ou de militaires? Et tous ceux qui ne se sont pas encore révélés ou qui poussent à l’ombre de leurs mosquées dans le confort des allocations multiples et variées qui ont attiré leurs parents en France? La France leur enseigne leurs langues d’origine (qui est aussi leur langue sainte) par des enseignants choisis, dépêchés et payés par leurs pays d’origine selon le programme Elco que l’Education Nationale encourage dans toutes les écoles de la République. Et pour compléter ce que leur famille ne leur transmettraient pas suffisamment ils ont d’immenses mosquées offertes généreusement et indirectement, par les finances publiques, avec des imams qu’ils se choisissent selon leurs goûts, le clergé n’existant pas dans cette religion, contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire.
Il ne sert donc à rien de « nommer » des « aumôniers » ou des imams, puisque ceux-ci n’ont que l’autorité que les fidèles veulent bien leur accorder. Mais cette fumisterie fait partie du lot de pourrissement dont nous a gratifié généreusement l’ancien Ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac, un certain Nicolas Sarkozy, l’inventeur du Conseil du culte Musulman, le promoteur de la construction des mosquées en France.
Tous ces djihadistes en herbe que les autorités empêchent désormais de gagner la Syrie lorsque leurs familles les dénoncent, n’ont donc plus qu’à faire le djihad en France, pays de conquête:
Dans son édition du 26 novembre dernier, le « Midi Libre » a rapporté un étrange fait divers lié au trafic de drogue: « Les policiers ont mis à jour une transaction inédite : deux habitants de Lunel sont venus échanger un kilo de cocaïne d’une grande pureté, d’une valeur d’au moins 50000 euros, contre une multitude d’armes: une kalachnikov, deux pistolets automatiques, un pistolet mitrailleur Scorpio et des centaines de cartouches. »
Commentaire du patron de la SRPJ de Montpellier: « C’est la première fois que l’on fait une affaire d’échange de coke contre
des armes, c’est inquiétant. »
Effectivement. Car si des trafiquants de Lunel s’amusent à échanger de la co ke contre des armes, ce n’est certainement pas pour aller faire la guerre en Syrie. Car là-bas, le matériel est fourni. En revanche, si on veut faire le djihad en France, il faut penser à s’équiper…
(Source des citations: Minute du 4 février 2015)
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