Ainsi le temps d’un défilé de mode, les belles statues antiques d’un des plus beaux musées du monde, les musées du Capitole de Rome, plus réelles et vraies que les riches jet-setteurs grégaires présents et aussi horriblement avilis que les mannequins, ont fait d’écrin à un défilé des horreurs en mouvement. Qui a vanté l’avortement et le monde lgbt…
« Gucci s’engage depuis longtemps en faveur des femmes et des jeunes filles du monde entier, soutient les droits sexuels et reproductifs, la santé maternelle et la liberté de choix individuelle » lit-on sur le compte Instagram officiel de la marque. Qui veut répondre ainsi aux nouvelles lois restrictives en matière d’avortement prises dans divers états des États-Unis.
Sur la passerelle ont défilé, portés par des individus au sexe savamment indéfini, des blazers et des habits, l’un brodé d’un utérus, les autres agrémentés de slogans féministes des années 70’, « My body my choice » ou par la date du 22.5.78, celle de la loi italienne 194 autorisant l’avortement.
Depuis 2013, Gucci soutient la campagne mondiale Chime for Change qui recueille des fonds destinés à favoriser par le biais de l’avortement et des droits lgbt, des droits sexuels et reproductifs, la culture de mort dans le monde, et tout particulièrement les pays encore proches de la loi naturelle. Parmi les co-fondateurs et partenaires de ce projet, on retrouve des noms connus de la haute finance et de la société à paillette, Salma Hayek Pinault et Beyoncé, et des fondations et multi-nationales mondialistes telles Kering Foundation, Hearst Magazines, Facebook, ainsi que la Bill & Melinda Gates Foundation. L’année dernière Gucci avait milité en faveur des « réfugiés ».
Comme quoi aucune des causes dictées par la conscience morale universelle ne lui est étrangère…
Francesca de Villasmundo
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