Le Figaro d’hier 22 mars révèle qu’une enquête est « ouverte après le décès d’un étudiant en médecine vacciné avec AstraZeneca »

« L’Agence nationale de la sécurité du médicament, écrit Le Figaro, a été informée de ce décès qui ‘’fait l’objet d’une investigation clinique’’. »

L’article continue en relatant les faits comme suit :

« Un étudiant en médecine de 24 ans a été retrouvé mort jeudi 18 mars, à Nantes, a révélé Ouest-France lundi. Selon les informations du quotidien régional, le jeune homme, originaire de La Turballe (Loire-Atlantique), aurait été vacciné à l’AstraZeneca le 8 mars. Le parquet de Nantes a ouvert une enquête en recherche des causes de la mort et ordonné également une autopsie, toujours selon les informations du journal. »

Le Figaro révèle également qu’Anthony R., élève en 6e année de médecine, « aurait été retrouvé mort dans son appartement verrouillé de l’intérieur par les pompiers alertés par la famille du jeune homme, qui s’inquiétait de son silence. »

« Selon Ouest-France, précise le journaliste du Figaro, un document indiquant que l’interne au CHU a été vacciné le 8 mars à l’AstraZeneca, aurait été retrouvé sur place par les forces de l’ordre. Une source proche du dossier, citée par le journal, a précisé que le rapport d’autopsie évoquerait ‘’une hémorragie interne causée par une thrombose’’. »

Dans son édition d’aujourd’hui, Ouest-France publie le témoignage du frère d’Anthony, Kévin :

« Mon intime conviction, déclare Kevin à Ouest-France, c’est que le vaccin a déclenché la thrombose qui a causé sa mort. Je veux bien que l’on me dise tout ce que l’on veut, mais je vous mets au défi de trouver une personne qui a une thrombose à 24 ans. »

Et le jeune homme, qui a parlé avec son frère au téléphone mercredi 17 mars, à 19 h 30 pour la dernière fois, d’ajouter :

« Il venait de finir un examen blanc, en vue du concours déterminant les affectations en internat de médecine. Des amies de mon frère m’ont contacté le lendemain pour me faire part de leur inquiétude car il n’avait pas ouvert un message sur Messenger. Or, d’habitude, il répond vite. Elles ont été jusqu’à son appartement et ont découvert que ses volets étaient fermés. On a aussitôt accouru. Les médecins nous ont dit qu’Anthony avait 1,7 litre de sang dans le ventre. La seule consolation, c’est qu’il est décédé dans son sommeil. On se raccroche à ça : au moins, il n’a pas souffert. »

Le vaccin anti-covid AstraZeneca, quelques jours après le feu vert donné par l’EMA, – un peu vite pourrait-on s’interroger ? – suite à sa suspension par de nombreux pays à cause d’effets secondaires et thromboses mortelles, se retrouve à nouveau sous le feu de l’accusation.

Quand on considère également le fait que les laboratoires ne sont pas tenus pour responsables à cause de l’Union Européenne qui a accepté de signer une telle clause inique, les appréhensions quant au vaccin AstraZeneca ne sont pas prêtes de se calmer, à juste titre. Ni les critiques envers une Union Européenne bien trop pressée de fourguer aux Européennes des vaccins, qui pour arriver rapidement sur le marché ont sauté de nombreux paliers de test cruciaux pour déterminer leur efficacité et leurs risques et sont donc encore en phase expérimentale, les cobayes étant les receveurs comme le jeune Anthony.

Francesca de Villasmundo

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