Le tortionnaire sans culotte et destructeur pontifical de la congrégation des Franciscains de l’Immaculée, le commissaire Fidenzio Volpi, est décédé. L’annonce de sa mort a été faite par la Province des Capucins de Saint-Charles en Lombardie (Italie) : il avait 75 ans.
Le commissaire Apostolique Fidenzio Volpi avait été nommé personnellement par le pape François pour mettre au pas – c’est à dire détruire – les franciscains de l’Immaculée, une jeune congrégation florissante accusée très officiellement de « crypto lefebvrisme ». Leur crime : être attaché à la liturgie traditionnelle et avoir émis des réserves sur le concile Vatican II.
La persécution lancée par le révolutionnaire Volpi a détruit cette oeuvre. Les Franciscains de l’Immaculée se sont vu suspendre les ordinations, fermer leurs séminaires ainsi que leurs œuvres apostoliques. Plusieurs de leurs maisons ont été fermées, le supérieur fondateur le père Stefano Maria Manelli déposé et sali, accusé notamment de détournement de fond et de biens immobiliers ; Pour cette accusation mensongère le Père Volpi a été condamné 12 février 2015 par l’Organisme de Médiation du Tribunal de Rome à verser 20 000 euros de dommages et intérêts aux membres de la famille du Père Stefano Manelli, fondateur des Franciscains de l’Immaculée.
MPI avait abordé ce sujet à plusieurs reprises :
https://medias-presse.info/la-traque-des-franciscains-de-limmaculee-continue-2/18878
Requiescat in pace, malgré tout.
Xavier Celtillos
- Dies iræ, dies illa,
- Jour de colère, ce jour-là
- Il réduira le monde en cendres,
- David l’atteste, et la Sibylle.
- Quelle terreur à venir,
- quand le juge apparaîtra
- pour tout strictement examiner !
- La trompette répand étonnamment ses sons,
- parmi les sépulcres de tous pays,
- rassemblant tous les hommes devant le trône.
- La Mort sera stupéfaite, comme la Nature,
- quand ressuscitera la créature,
- pour être jugée d’après ses réponses.
- Un livre écrit sera produit,
- dans lequel tout sera contenu ;
- d’après quoi le Monde sera jugé.
- Quand le Juge donc tiendra séance,
- tout ce qui est caché apparaîtra,
- et rien d’impuni ne restera.
- Que, pauvre de moi, alors dirai-je ?
- Quel protecteur demanderai-je,
- quand à peine le juste sera en sûreté ?
- Roi de terrible majesté,
- qui sauvez, ceux à sauver, par votre grâce,
- sauvez-moi, source de piété.
- Souvenez-vous, Jésus si doux,
- que je suis la cause de votre route ;
- ne me perdez pas en ce jour.
- En me cherchant vous vous êtes assis fatigué,
- me rachetant par la Croix, la Passion,
- que tant de travaux ne soient pas vains.
- Juste Juge de votre vengeance,
- faites-moi don de la rémission
- avant le jour du jugement.
- Je gémis comme un coupable,
- la faute rougit mon visage,
- au suppliant, pardonnez Seigneur.
- Vous qui avez absous Marie(-Madeleine),
- et, au bon larron, exaucé les vœux,
- à moi aussi vous rendez l’espoir.
- Mes prières ne sont pas dignes (d’être exaucées),
- mais vous, si bon, faites par votre bonté
- que jamais je ne brûle dans le feu.
- Entre les brebis placez-moi,
- que des boucs je sois séparé,
- en me plaçant à votre droite.
- Confondus, les maudits,
- aux flammes âcres assignés,
- appelez-moi avec les bénis.
- Je prie suppliant et incliné,
- le cœur contrit comme de la cendre,
- prenez soin de ma fin.
- Jour de larmes que ce jour-là,
- où ressuscitera, de la poussière,
- pour le jugement, l’homme coupable.
- À celui-là donc, pardonnez, ô Dieu.
- Doux Jésus Seigneur,
- donnez-leur le repos. Amen.
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