Le virus de la politique ne la quitte pas : la petite-fille de Jean-marie Le Pen qui avait déclaré arrêter la politique s’est retrouvée hier jeudi 12 juillet en Ligurie, en Italie, à une conférence culturelle aux côtés du président Forza Italia de la région, Giovanni Toti, et d’Edoardo Rixi, secrétaire d’État aux Transports, homme fort de la Ligue, le parti de Matteo Salvini.
L’ancienne députée frontiste a débattu sur le thème « Invasion barbare, souveraineté et pouvoir » et présenté sa nouvelle école de sciences politiques l’Issep.
Elle a profité de ce passage dans la péninsule italienne pour donner un entretien au quotidien Il Corriere della Sera dans lequel elle tance vertement Macron et ses commentaires sur l’affaire de l’Aquarius :
« Macron a fait une grave erreur en insultant le peuple italien. Mais vous n’êtes pas les uniques victimes de son mépris. Il l’exprime également contre les Français (…) Pour lui la France est une start-up, l’Europe est un marché et les peuples un agglomérat d’individus interchangeables. ».
La chancelière allemande en a également pris pour son grade :
« Quand Merkel décide d’accueillir un million de migrants, elle les impose aux autres pays. »
Marion Maréchal a en outre défendu la politique du hongrois Orban :
« Une Europe des Nations qui défend une civilisation aux racines chrétiennes, en lutte contre les excès du libéralisme et la domination de la finance et une politique de soutien à la natalité plutôt que le recours à l’immigration pour la relance démographique, voilà la vision soi-disant ‘autoritaire’ d’Orbán. »
Francesca de Villasmundo
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