Cette attaque christianophobe est particulièrement insupportable aux catholiques de France, particulièrement ceux du Charolais Brionnais.
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L’année dernière, j’avais dénoncé le caractère blasphématoire du festival Saint Rock qui a lieu chaque année dans le parc du château avec la bienveillance des propriétaires soi-disant catholiques. Un journaleux pétrit d’orgueil du quotidien local m’avait interviewé, me faisant passer pour un illuminé notoire, rétrograde, pas à la page, complètement décalé. J’avais uniquement demandé de changer le nom du festival, ce qui a été moqué et refusé par les saltimbanques de Monsieur Pierre-Etienne Dury, responsable du dit festival.
Quelle surprise quand ce dimanche 04 août quelqu’un de bien informé m’a déclaré que le festival que j’avais dénoncé l’année dernière a plié bagage le jour du premier concert victime d’une tempête locale (1) sur La Clayette dans la nuit du 1° au 2 août, leur ayant endommagé du matériel, notamment la grande scène où devait « se produire » toute la décadence de la musique rock déjantée du coin.
Cette année, je n’ai rien fait de particulier, laissant Notre Seigneur seul juge à la suite de mon action antérieure. Et a priori, j’ai été entendu ; ils ont pris la foudre de Dieu sur la tête, le Ciel leur étant véritablement tombé dessus avec pluie, foudre, bourrasque de vent emportant tout sur son passage.
J’espère qu’ils auront tous compris le message, organisateurs, élus, bénévoles, « artistes », qu’il ne faut pas se moquer de Dieu sous peine d’un châtiment que l’on ne voit pas venir.
Les membres de l’association patrimoine et tradition en Bourgogne prieront pour leurs âmes et leur souhaite de bien réfléchir à la continuation de ce festival sous cette forme.
Jean-Nicolas Noviant, représentant l’association patrimoine et tradition en Bourgogne.
(1) Le communiqué des organisateurs :
Fabien Laurent
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