Le récent décès du chanteur David Bowie fait resurgir d’anciens articles à son sujet.
En 2013, Le Monde juif écrivait que David Bowie « avait déjà battu de 20 ans Madonna sur la Kabbale, chantant sur les sefirot, les vaisseaux mystiques de l’énergie divine, dans la chanson-titre de son album de 1976, Station to Station. «
« Effectivement, Bowie chante : «Voici que nous, un mouvement magique de Kether à Malhouth » dans Station to Station, peut-être le seul usage de la terminologie kabbalistique en hébreu jamais chanté par une grande chanteuse pop internationale. Les paroles se réfèrent à des émanations divines de l’infini : Kether, (la couronne), la volonté divine ou de la lumière pure, et Malhouth, ou la royauté, le réceptacle nourri de cette lumière. Bowie est photographié sur le dos de l’album, où est dessiné un diagramme des 10 Sefirot, symbolisant la Kabbale, une activité dans laquelle, il s’est prétendument engagé dans une certaine fréquence pendant l’enregistrement de l’album à Los Angeles – un temps pendant lequel, il aurait transcendé son esprit à la cocaïne.
L’immersion de Bowie dans la Kabbale faisait partie d’une quête spirituelle globale (…) »
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !