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Daniel Cohn Bendit (dit « le rouge ») donne des leçons d’éducation… Il ose…

Cohn Bendit

Les écologistes (« die Grünen » allemands) voulaient libérer la sexualité jusqu’à supprimer la pédophilie, Daniel Cohn Bendit l’a publié…

« Dans les archives du parti, des documents qui rappellent que certains membres des Verts, dans les années 80, voulaient légaliser la pédophilie. Surfant sur la vague « peace and love » des années 70, ils voulaient libérer la « sexualité ». Bande de salopards ! » (Source)

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« Vous savez que la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. (…) Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque… » Daniel Cohn-Bendit (Source: le texte est encore là, mais la vidéo mise en ligne en 2009 a depuis été supprimée… Tiens, tiens!)

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Dans son livre « Le Grand Bazar », publié en 1975 chez Belfond, Daniel Cohn-Bendit évoque son activité d’éducateur dans un jardin d’enfants « alternatif » à Francfort :

« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : ‘Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?’ Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ». « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ».

La polémique

Les propos de François Bayrou contre Daniel Cohn-Bendit, jeudi soir 4 juin lors du débat télévisé sur les européennes dans l’émission « A vous de juger », faisaient allusion à une polémique suscitée en 2001 par des écrits de l’ex-leader de Mai 1968 sur la sexualité des enfants.
Répondant, jeudi, au candidat d’Europe Ecologie qui avait estimé qu’il ne serait jamais président de la République car « trop minable », le président du MoDem avait répliqué en jugeant « ignoble d’avoir poussé et justifié des actes à l’égard des enfants que je ne peux pas accepter ».
La polémique était née en Allemagne début 2001 lorsque Bettina Roehl, fille de Ulrike Meinhof, terroriste décédée, avait publié sur internet des extraits litigieux d’un livre du député européen des Verts, sorti en 1975 en France.
L’affaire avait rebondi en France quand, en février 2001, L’Express avait publié des passages du livre incriminé « Le grand bazar », qui n’avait soulevé aucune critique lors de sa publication.

« Des remords »

Daniel Cohn-Bendit, ancien éducateur dans un jardin d’enfants autogéré de Francfort avait ensuite démenti tout acte pédophile et soutenu que ses écrits reflétaient l’esprit de l’époque de « provocation contre le bourgeois ».
« Ce qui est écrit dans « Le grand bazar » n’est « pas une réalité », mais « un condensé de faits observés », avait déclaré Daniel Cohn-Bendit. « J’ai raconté ça par pure provocation, pour épater le bourgeois » (…) et « sachant ce que je sais aujourd’hui des abus sexuels, j’ai des remords d’avoir écrit tout cela ».

 

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